Repos à Minéril (Rp Kara, Armidir et Tifanix)

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Précdemment, dans cette longue péripétie, alors que Kara et Armidir se voit refusé l'entrée à Minéril...
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Cachée dans l'ombre, grimpée sur une petite plateforme plus haut sur la paroi du tunnel, Tif observa la scène en silence. Les gardes refusèrent l'accès aux étrangers et un petit sourire mesquin apparut au coin de ses lèvres.

-Attendez.

Le visage dissimulé sous sa capuche et bien enveloppée dans sa cape un peu comme la nuit dernière, la silhouette svelte de l'elfe sortit de l'ombre et s'avança dans la pâle lueur de la fin de la journée qui pénétrait dans le tunnel. Les gardes se retournèrent et fîrent mine de ne pas la connaître en prennant un air surpris.

-Ils sont avec moi.

-Oh euh.. très bien alors...Mais vous savez pour les bêtes...

-Oui je sais... à l'écurie.

Les deux gardes relevèrent leurs haches à long manche qui bloquait le passage avec toutefois un air un peu méfiant envers les deux étrangers. Tif leurs fit signe de descendre de leurs montures et de la suivre puis elle s'enfonça dans le tunnel en tenant la bride des deux tigres après avoir passer une main réconfortante sur leur museaux, estimant que les étrangers allaient la suivrent puisqu'elle était leur seul moyen d'entrer cette nuit. Avec toujours le même sourire aux lèvres, l'elfe poursuivit son chemin sans porter trop attention aux deux voyageurs.

Après quelques minutes à marcher dans le tunnel éclairé par seulement quelques torches, un nain s'avança vers eux. Tif se retourna, détacha les sacs de sur les bêtes qu'elle dirigeait et les tendirent aux voyageurs pour ensuite rendre les rênes au nain qui les conduisit dans un confortable enclos pour chacun d'eux. L'elfe continua sans un mot et sans se retourner sans toutefois pouvoir se départir de sourire amusé qu'elle prennait soin de dissimuler.

Après un autre moment à marcher dans la faible lueur, le tunnel s'élargit soudainement et devant les yeux des deux étrangers s'étendit toute la splendeur de Minéril: les chemins sinueux, les maisons carrées qui grimpaient sur les parois et plus loin au centre de l'immense grotte, la colline de pierre qui montait vers le puit principal de lumière et où logeait, au sommet, le palais du roi, le tout parsemé de nombreuses sculptures et autres pièces d'arts baignés dans une lueur multicolore provenant de l'Étoile Coloré, comme les nains aimaient appeler le Puit Principal. Tifanix ralentit légèrement le pas pour les laisser observer le décor mais sans toutefois s'arrêter. Elle se faufila entre les nains massifs qui se tenaient dans les allées, tendant l'oreille pour s'assurer que les deux étrangers la suivait toujours.

Bientôt, environ au pied de la haute colline de pierre, ils passèrent près d'une haute et massive bâtisse de pierre. Au dessus de la porte, un panneau de bois pendait sur des serrures, affichant fièrement une figurine de troll tenant une chope et où on pouvait lire si on plissait les yeux pour reconnaitre la calligraphie naine : Au Troll Ivre. Par habitude, l'elfe se pencha et passa en dessous pour ne pas s'y cogner la tête puis tourna au coin de la bâtisse dans une minuscule ruelle. Un long escalier de pierre étroit y était bâtit, coincé entre la taverne et une autre bâtisse, et permettait de grimper dans la paroi de la montagne pour atteindre les maisons creusées à même la montagne. Avec agilité, l'elfe s'y engagea et ils grìmpèrent ainsi quelques minutes et nde nobreuses escaliers pour finalement atteindre le plus haut niveau des maisons. Tout en haut trônait une maison légèrement différente où des plantes grimpantes avaient miraculeusement poussées partout sur les murs. L'elfe s'arrêta pourtant devant la maison qui la précédait, quelques mètres plus bas sur l'étroit sentier de pierre, ouvrit la porte et fit signe aux deux étrangers d'y entrer, étirant le bras vers l'entrée et découvrant de fins et long doigts à la peau très claire même quelque peu translucide. La petite maison possédait deux chambres, une petite cuisine et un petit salon: le modèle classique. Un bouquet de fleurs fraîches trônait dans son vase sur la table avec un petit mot grifonné avec style:

Bienvenue à Minéril, en espérant que vous vous y plairez. Reposez et soignez-vous: vous en avez grandement besoin.

T.

Lorsque les étrangers se retournèrent, leur guide s'était volatilisé de nouveau. Elle était redescendue et s'était mêler à la foule en bas, son sourire incontrolable qui s'étirait de plus en plus sur ses lèvres. Elle entra dans la taverne du Troll Ivre, retira sa capuche et éclata de rire avec le nain derrière le comptoire.

-Tu aurais dût voir leur tête! Je les ai bien eût!

Les deux rièrent de plus belle. Lorsque les rires se calmèrent, elle serra l'avant-bras de son ami, remit sa capuche et retourna espionner ses deux "victimes" , cachée dans l'ombre pour faire durer le plaisir encore un tantinet.

Même si Méniril se trouvait a courte porté, ils décidèrent de levé un petit camp, a la nuit tombé, pour se reposer. Lorsque Kara posa la tête sur son oreiller, elle s’endormit aussitôt. Mais son sommeil fut troublé par d’innombrables images qui ne cessaient d’aller et venir dans sa tête. Elle revoyait la fois ou elle avait reçu la lance en lame d’argent dans la jambe, les dures nuits ou sa jambe voulait se guérir d’elle-même, car les loups-garous ont la capacité de régénérer tout blessure, même une minuscule coupure faite avec une feuille de papier, mais les loups-garous ont une très grande sensibilité par rapport aux armes faites d’argents. Elle revue aussi la fois, dans le bar, ou Armidir l’avait sauvé des flammes et ou par la suite elle l’avait sauvé du toit qui menaçait de s’effondrer sur lui.

Puis elle se retrouva au beau milieu d’un lac gelé. Juste en avant de Kara, se trouvait Armidir emmitouflé dans une grande cape de peau, elle dans sa grande cape noire avec son capuchon sur la tête, une panthère et une autre femme, cachée sous un capuchon elle aussi. Ils s’étaient accroupis derrière une bosse faite dans la neige et semblaient observer furtivement quelque chose. Kara se rapprocha et regarda par-dessus la bosse. Devant elle, s’étendait une grande plaine d’un lac gelé que la neige avait recouverte et un peu plus loin se dressait devant eux un palais de glace majestueux. Mais cette vision fut d’une courte durée, car a peine avait-elle posé ses yeux dessus qu’elle fut transporter a l’intérieur même ou un combat faisait rage. La pièce ou elle se trouvait était un immense dortoir qui semblait être pour Kara le milieu du château ou le roi recevait les paysans. Kara contempla avec émerveillement la structure de glace, ou différents symboles y figuraient. Mais avant qu’elle n’est pu mené son observation plus loin, son regard se porta sur ce qui se passait juste sous son nez.
Lui tournant le dos, Armidir combattait sans relâche le sorcier noir, que Kara avait déjà vue en rêve, mais que la magie bloquait sa vision. Ils lançaient des sorts essayant vainement de porter atteinte a l’autre, mais sans succès. Dans un autre coin de la pièce, plusieurs gouttes de sang et de chaires arrachées gisaient sur le plancher et menait tout droit sur le combat entre deux loup-garou ou Kara se reconnue.
‘’Mais qui est donc ce deuxième loup?’’
Pendant que ses combats faisaient rage, une femme et une panthère essayaient le plus possible de retenir la grande porte de glace qui n’arrêtait pas de s’ouvrir sous les coups de plusieurs créatures déchaînées.
Puis tout s’effaça. Elle revint a la réalité avant même qu’elle n’est pu voir ce qui allait lui arriver, car lorsqu’elle se retourna pour voir le combat entre les deux bêtes, Kara se vit tombé sur le dos, l’autre loup la retenant au sol, lance a la main, pour lui enfoncé tout droit dans le cœur.

Kara se réveilla, trempé de sueur et le cœur battant a cent miles a l’heure. Quand elle fut calmée, Kara regarda la blessure de sa jambe. La cicatrice n’avait pas changé, mais il ni avait plus de se liquide jaunâtre et bizarre qui en sortait.
Aider pas Armidir, elle se releva et ils repartirent vers les grandes portes de Minéril, après un bon petit déjeuner. Même si Armidir essayait de le cacher, Kara se doutait bien qu’il était resté assit sur une dune toute la nuit, a contemplé les étoiles. Lorsqu’ils atteignirent enfin les portea, Kara réveilla Armidir et ils contemplèrent la porte stupéfaits, pendant que les gardes nains se moquaient d’eux.
‘’Ses portes sont magnifiques, mais pas plus que la stucture des murs du château de glace.’’,se dit-elle.
La voix d’un des gardes la réveilla aussitôt et elle porta attention sur les gardes nains qui les regardaient avec méfiance cette fois-ci.

-Qui va là! déclinez votre identité et votre but dans la ville.

-Je suis Armidir et voici Kara. Nous venons nous reposer et nous soigner avant de reprendre notre route vers la citade, euh vers le sommet de pics blancs.

-Je vois... Vous semblez fatigués... Malheureusement, des créatures bizarres rodent autour d'ici ces derniers temps et on soupçonne qu'ils puissent prendre un apparence humaine. Je ne peut pas vous faire entrer.

Kara devint rouge de colère et d’indignation. Elle allait répliqué quand une femme sortit de l’ombre. La femme expliqua aux gardes qu’ils étaient avec elle et elle leur fit signe de la suivre pendant qu’elle prenait les raines de Ridimra et Arah.
Kara essaya vainement de suivre la marche de la femme et d’Armidir qui la suivait en avant d’elle. La blessure lui faisait encore douloureusement mal, même aidé de sa canne, Kara se trouva a environ dix pas derrière eux.
‘’Une chance que les nains sont petits, sinon je les aurais perdue’’, se dit-elle, se retenant de pouffé de rire.
En même temps de continuer a marcher, Kara contempla avec émerveillement la beauté du royaume ou elle se trouvait. Même si les nains avaient la réputation d’adoré les diamants et d’être des hommes égoistes et possessifs, le territoire ou ils vivaient étaient bien entretenue. Après plusieurs kilomètre, ils passèrent devant un panneau de bois que Kara ne pu éviter et ou elle se cogna la tête. Furibonde, elle repartit en grand pas en crachant des injures au panneau. Finalement, ils arrivèrent enfin devant une petite maison. La femme ouvrit la porte et leur fit signe d’entré.
La maison disposait de deux chambres, une cuisine et d’un petit salon. Lorsque la porte se referma derrière eux, Kara s’effondra sur une des chaises en bois qui étaient autour de la table. Exténuée, elle lâcha un grand soupir et regarda le petit mot sur la table.

Bienvenue à Minéril, en espérant que vous vous y plairez. Reposez et soignez-vous: vous en avez grandement besoin.
T.

Kara se tourna vers Armidir, qui observait chaque pièce de haut en large, pour s’assurer qu’aucun piège n’avait été disposé, et lui demanda :

-Penses-tu que nous devrions lui faire confiance? Je veux dire, d’accord j’accorde qu’elle nous a fait entré a Minéril, que tu dis qu’elle ma soigée ma jambe, qu’elle nous offre une maison pour nous reposer. Mais a sa façon de faire les choses, on dirait qu’elle joue avec nous. Et je déteste quand on joue avec moi. Alors qu’en dis-tu?

En même temps de parler, Kara repensa a son rêve de la veille. N’était-ce pas un hasard que la femme en question leur ouvre les portes de minéril et qu’elle soit dans son rêve.
Finalement, Armidir vint s’asseoir devant elle, et avant qu’il ne lui réponde, Kara lui raconta son rêve. Mais elle ne lui parla pas de la fin de son rêve, lorsque le loup-garou allait lui planter une lance dans le cœur.
Pendant qu’Armidir réfléchissait, Kara se leva péniblement et alla se chercher trois bouteille de rhum, puis elle se laissa tomber sur le canapé moelleux, but tout le contenue de son verre d’une traite et regarda Armidir pour voir ce qu’il allait lui répondre, tout en commença l’autre bouteille.

Armidir et Kara suivirent la femme dans les fins fond de la ville montagne. À chaque pas, Armidir voyait des nouvelles merveilles. Cette ville était si jolie qu'il avait du mal marcher sans s'arrêter pour contempler les murs de la cité. Des joyaux, des sculpture, de objets forgé, Tout ce qu'il y avait dans cette ville était magnifique. Quand la fille les amena plus loin vers la cabane, Il fut presque déçu que sa destination ne soit pas a porté de toutes ces merveilles.

Ils arrivèrent donc devant une cabane en pierre qui semblait plutôt bien entretenue. La mystérieuse bienfaitrice leur fit signe d'entrer, ce qu'ils firent sans attendre. Armidir regarda la pièce dans laquelle ils se trouvaient. Il y avait une table et 3 chaises au centre de la table, un canapé collé sur le mur droit et un lit sur le mur gauche. Il y avait près du lit une table de chevet et une bibliothèque remplis de livres divers. Il se promit de les regarder plus tard. Il eut alors un moment ou il se demanda ce qui allait arriver a Ridmira et a Arah, mais fit confiance aux nains et changea ses pensés. C'est alors qu'il se retourna pour voir l'étrangère mais elle avait disparu! Il courra a l'extérieur pour voir où elle allait mais elle n'étais plus a vue. Elle s'était volatilisé. Il rentra penaud et vit Kara s'asseoir sur une chaise.

-Penses-tu que nous devrions lui faire confiance? Je veux dire, d’accord j’accorde qu’elle nous a fait entré a Minéril, que tu dis qu’elle ma soigée ma jambe, qu’elle nous offre une maison pour nous reposer. Mais a sa façon de faire les choses, on dirait qu’elle joue avec nous. Et je déteste quand on joue avec moi. Alors qu’en dis-tu?


Il ne prit pas tout de suite attention a la question car il observait la salle pour détecter une quelconque anomalie. Elle ne pouvait pas leur offrir logis comme sa sans raisons. Il jeta un coup d'oeuil Rapide aux trois autres pièces. Il y avait une cuisine avec un four a gaz et de longs comptoirs en granite et une salle de bains avec un e cuvette de toilette et un lavabo. Ces pièces la aussi semblait tout a fait normale. Il alla voir la dernière pièce qui contenait seulement un lit, une table de chevet et un miroir. Il alla jusqu'à vérifier derrière le miroir pour les pièges. Après tout, la nuit est le meilleur ami de l'assassin. Tout semblait normal. Pensif, Armidir revint a la pièce centrale ou il s'assit a son tour sur une chaise. Puis, Kara se mit a lui raconter un rêve bizarre qu'elle avait eu. Par contre, Armidir l'écouta sérieusement car certains de ses rêves depuis qu'elle avait la pierre en elle, s'avérait être des prédictions. Il tenta de tout coller les morceaux dans sa tête. Elle avait dit dans son autre rêve que Armidir mourrait en tombant dans un lac gelé... enfin c'est ce qu'il se rappelait. La, elle disait qu'il combattait le mage noir. Il déduis donc que ses rêves étaient en quelques sortes codés. Il ne fallait pas se fier aux apparences. Par exemple, Il se dit qu'il tomberait peut être dans un lac gelé mais ce serait l'entrée cachée de la forteresse. Il vit alors Kara se lever, aller se chercher une bouteille de whisky et un verre dans la cuisine, et revenir s'asseoir sur le canapé. Armidir lut l'étiquette. Du whisky d'orge, distillé il y a 20 ans. Du très bon whisky il en conclut. Mais il se demanda bien pourquoi il regardait cela. Il repensa a l'histoire se son rêve et crut déceler quelque chose. quelque chose d'étrange.

-J'ai vérifier partout et il n'y a aucun piège. j'en déduit donc que ce n'est pas en mauvaise intention qu'elle nous a amené ici. je crois que nous pouvons lui faire confiance pour l'instant mais restons sur nos gardes. Mais dit moi... Dans ton rêve, tu parle que tu te voit combattre un autre loup mais est-ce que tu a vu comment ton finissait et le mien aussi? Je pourrait peut-être trouver comment les abattre ainsi.

Il lui parla de ce qu'il avait découvert à propos des apparences trompeuses dans ses rêves. Puis il se leva et alla voir l'extérieur de la cabane. Il découvrit une grotte a l'extérieur et alla chercher Kara. Malheureusement, Elle semblait déjà commencer a être saoul et il décida d'aller l'explorer seul. Quand il y entra, il vit que c'était une source chaude. Ces étangs se trouvent souvent en montagnes et sont composés d'eaux très chaude que les voyageurs utilisent souvent pour se relaxer avant de repartir. Il se promit d'y aller plus tard avec Kara. Puis sont regard se posa sur une continuité de la grotte qui était bloqué par un panneau de danger. Il jugea qu'il n'était pas sécuritaire d'y aller seul et décida d'attendre que Kara soit en état. Il retourna dans la cabane et se mit a regarder les livres de la bibliothèque. Il y avait des livres sur les coutumes naines, les livres sur l'histoire des nains mais un livre l'accrocha. Le livre semblait vieux et poussiéreux. Quand il le sortit, il souffla la poussière et lut le titre a haute voix.

-Journal d'un alpiniste... voila qui pourrait être utile.

Il feuilleta le livre et découvrit que l'alpiniste était un nain qui avait décidé d'escalader les monts blancs. Il disait que quand il est arrivé au sommet, une gigantesque silhouette se dessinait a l'horizon. La citadelle de glace probablement. Armidir n'en lut pas plus et rangea le livre dans son sac. Il continua a regarder les livres mais n'en trouva pas d'autre vraiment intéressant. Il décida d'aller se coucher et pris le lit dans la grande salle en se disant qu'il pourrait laisser le miroir aux filles et aussi que si il se réveillait plus tôt, il pourrait lire des livres. Il s'étendit et sombra dans un sommeil profond et réparateur.

L'elfe remercia ses compétences de l'Ombre durement acquise au cours de sa jeunesse. Malgré que ce n'eut pas été de son plein gré, elle les trouvait aujourd'hui bien utile.

Se mouvoir sans bruit et se tapir dans l'ombre pour y disparaitre littéralement lui était bien plus aisé qu'elle ne le croyait. L'oreille tendue, elle écouta derrière la porte la petite conversation de ses invités. à un moment elle roula des yeux: évidemment, cette femme allait être dur à vivre si elle continuait avec cette attitude... Malgré tout, Tif dut avouer que c'était un peu injuste de jouer ainsi avec eux. Mais cétait si amusant... "Et puis, ce n'est pas comme si je le faisais avec de mauvaises intentions..." pensa-t-elle. Sa réflexion fut interrompue par les pas du mage qui s'approchèrent de la porte et elle dut bondir derrière une parroi rocheuse pour ne pas être découverte. Lorsqu'il se fût éloigné, elle osa sortir la tête pour voir où il allait. Tif grimaça.

Cette fameuse pancarte d'avertissement, c'est elle qui l'avait improviser. Ces sources chaudes étaient son endroit favoris à Minéril... Elle avait travailler fort pour réussir a se les payer: elle avait dût faire creuser un bassin puis toute la technologie naine pour acheminer l'eau des sources thermale en bas de la ville jusqu'ici... Elle s'apliquait même à entretenir fréquemment un bon nombre de plantes pour recréer une atmosphère de forêt: ainsi, bon nombre de vignes grimpaient sur les parois rocheuses, de petits arbrissaux avaient racines ici et là et une énorme quantitée de fleurs de toutes les couleurs reposaient autour du bassin fûmant. Plusieurs pierres avaient été placés de façon à former des sculptures ou des agencement sensant canaliser l'énergie de la nature selon les coutumes elfiques, créant une atmosphère calme, sereine et procurait une énergie regénératrice à quiconque s'installait dans ces eaux.

Le mage avait trouver son petit repère d'intimité, endroit où personne n'avait jamais osé mettre les pieds auparavant, et l'humeur de l'elfe s'en vu gravement atteint. Elle allait devoir l'avertir très clairement de ne pas ammener sa copine et d'éviter cette endroit... Tifanix se surpris elle-même de l'effet que cette intrusion lui faisait, mais elle haussa les épaules: elle avait bien le droit à son intimité: après tout, c'était son repère!

Elle le vit revenir à la maison et continua son petit numéro d'espionnage, le voyant prendre un bouqin et le mettre dans son sac. L'effronté! Décidément, ces deux-là souffraient d'un manque de manières bien prononcé... Tif soupira. D'un pas trainant, elle se dirigea vers sa propre deumeure un peu plus haut sur le sentier, cachée de la leur par une parroi rocheuse. À mi-chemin, elle eut cependant une idée: se raclant la gorge, elle poussa un petit huhulement semblable à celui d'une petite chouette. Sans tarder, deux yeux jaunes apparurent dans l'obscurité des tunnels, puis une longue silhouette élancés recouverte d'une fourrure d'encre. Zaphira s'approcha de l'elfe et celle-ci vin lui flatter la tête et les oreilles affectueusement. Puis, elle se pencha pour murmurrer à l'oreille du félin ronronnant:

- Tu voudrais bien me rendre service ma jolie? Surveille nos invités et préviens-moi quand l'un deux se sera réveiller...

Elle déposa un baiser sur le dessus de sa tête et la panthère lui répondit en lui léchant la joue. Puis Tif continuna son ascension vers sa deumeure alors que le félin redisparaissait dans l'ombre en direction de la demeure d'invités.

En arrivant ne haut du sentier, Tif pu appercevoir sa précieuse petite cabane: taillée dans la pierre comme à peu près tout se qui se trouvait à Minéril, Elle trônait fièrement dans le plus haut alcôve de la ville dans une des parrois surplombant le centre-ville. Par contre, sa deumeure à elle possédait plusieurs différences avec la majorité des bâtiments communs de la ville. Tout d'abord, elle possédait un grand balcon qui s'avançait au-delà de la parroi, suspendu dans le vide. On remarquait aussi que cet abris possédait beaucoup plus d'ouverture servant de fenêtre que la normal. La forme de la deumeure, bien qu'en pierre, ressemblait plutôt à l'architecture elfique avec ses paliers à différents niveaux et ses courbes multiples qu'à l'architecture naine où trône fièrement la symétrie et les carrés. Tif avait dût recruter les meilleurs sculpteur de pierre et y avait elle même travailler pour bâtir cette demeure qui lui rappelait si bien son enfance. Outre la forme de la pierre, les couleurs des tissus et des meubles aussi étaient unique. Tif préférait les couleurs de la terre tel que le orange, le brun et le vert et s'était fabriquer bon nombre de meubles en bois dont les essences étaient parfois bien rare. Elle avait même réussit à avoir son propre puit de lumière pour qu'en plein jour, sa deumeure semble éclairée de rayon d'or comme si elle était dehors.

Mais la plus grande différence avec le reste de la ville était certainement les innombrables plantes qui occupait cette maison. Grâce à ses connaissances acquises dans ces voyages et de ses origines, elle avait fait ici la même chose qu'avec la source chaude et avait réussis à faire pousser bon nombre de lierre qui grimpaient le long des parrois, des fleurs un peu partout, mais surtout, un assez grand chêne qui poussait en plein milieu de sa deumeure avec ses branches s,étirant dasns tout les sens où l'elfe adorait s'asseoir.

Le sourire aux lèvres, Tif pressa le pas pour rejoindre son petit coin de paradis. Elle renifla avec bonheur l'odeur des plantes et des fleurs, enfin chez elle. Elle referma la grande porte de bois constituant l'entrée principale et déposa ses affaire dans un coin avant de se rendre sur son balcon où elle jetta un oeil curieux au reste de la ville en bas en laissant osn visage se baigner dna sles dernier rayons de soleil provenant du puit de lumière. le soleil se couchait déjà dehors. Toujours souriante, elle rentra à l'intérieur, alluma quelques petites chandelles pour garder un éclairage minimum pendant la nuit, retira ses bottes et ses vêtements en surplus puis se jeta sur son lit, ou plutot sur son tas de coussins où elle adorait dormir dans un alcôve rond creusé dans la pierre comme tout le reste. confiante en Zaphira, elle s'assoupit alors que le soleil quittait sa deumeure.

Kara, avec 3 bouteilles de rhum vide devant elle, se leva péniblement de son fauteuil et se dirigea vers une des chambres, tout en zigzagant de chaque côté, avec sa canne en main, sous l’effet de l’alchool. Lorsqu’elle atteignit enfin son lit, elle se laissa tomber dessus et partit d’un rire fou et amusé digne d’une vraie ivrogne.
Quelque seconde après, elle regarda autour d’elle, sans distingué la moindre chose, car tout était flou et tournait. Finalement le sommeil l’emporta et elle tomba dans un long et tumultueux sommeil sans rêve.

Ce sont les forts rayons du soleil du matin qui réchauffait sa tenue noire qui la réveilla. Kara s’étira, puis cela ne prit que quelque seconde avant qu’un fulgurant mal de tête la prit de plein fouet. Elle se saisit les trempes d’une main, pendant qu’elle cherchait dans son sac ses herbes contre le mal de tête. Apaisée, la douleur atténuée, Kara regarda autour d’elle. La pièce dans laquelle elle se trouvait était une petite chambre ou était entreposé le lit sur lequel elle était, une table de nuit et un petit meuble ou était placé un miroir.
Curieuse, Kara alla se regarder sans la glace pour voir dans quel état elle était. Son visage était aussi blême qu’a l’accoutumé, de grosse cerne pendaient sous ses yeux et ses cheveux étaient en bataille. Kara ouvrit le tiroir de la commode et y trouva une brosse. Elle l’appliqua sur ses cheveux pour les placés, puis, satisfaite, la rangea a sa place, prit sa canne, puis sortit de sa chambre. Elle passa devant la chambre d’Armidir ou celui-ci gisant encore profondément endormi. Elle jugea bon de le laisser se reposer, puis elle sortit a l’extérieur.

L’air était fraîche, le soleil commençait a peine de se réveiller. Mais elle sentit comme une agitation. Elle suiva donc le petit chemin qu’ils avaient empruntés la veille pour se rendre au village. En effet, il y avait bien de l’agitation. Plusieurs nains ici et la, bougeait dans tous les coins. Kara continua son chemin, sans se préoccupé des regards interloqué des petits hommes qui n’arrêtaient pas de la fixer bizarrement. Puis soudain, quelque chose attira son attention. Un plus petit chemin, sinistre et sombre, semblant mené vers des habitations de moins en moins fréquenté. Sa curiosité l’emporta et elle se dirigea vers l’endroit d’un pas décidé, sans avoir pris la peine de regarder la pancarte d’avertissement…

Tout en marchant, Kara huma l’air ou plusieurs arômes différentes s’entremêlait dans ses narines. Puis tout a coup, elle se figea. Une odeur de moisi et de putréfaction remplaça l’agréable odeur qu’elle avait sentit plutôt et elle sentit de plus en plus de regard se posé sur elle avec un appétit féroce. Comme par habitude, elle voulu empoigné son épée, mais sa main glissa dans le vide.
Kara chercha sur elle. Elle ne trouva ni épée, ni son sac et elle avait même oublier sa cape.
Par chance, plusieurs dagues étaient cachée sur elle, mais en aurait-elle assez?
Ne sachant quoi faire elle se mit a courir le plus qu’elle pouvait, tout en boîtant de sa jambe droite, encore blesser. Se retournant, elle remarqua avec horreur une dizaine de gobelins la pourchassaient, masse a la main, et écume a la bouche. Kara essaya de redoubler de vitesse, mais lorsqu’elle se retourna pour regarder en avant d’elle, elle se cogna de plein fouet la tête sur une pancarte. Kara tomba sur le dos et échappa sa canne qui tomba plus loin d’elle sur le côté. Terriblement sonné, sur le bord de tombé dans les pommes, elle réussi néanmoins a se relever sur ses genoux pour faire face a ses ennemis, malgré le fait qu’elle voyait flous et que tout tournait autour d’elle. Kara empoigna une de ses dagues, juste a temps, car un gobelin venait, courant droit sur elle, lance a la main et lui sauta dessus. Kara ne vit pas le coup venir. Le gobelin atterit sur elle et l’écrasa de tout son poids tandis que Kara tombait sur le dos en se heurtant encore la tête au planché.

Le gobelin tenta de l’étrangler avec son bâton, mais Kara le retint d’une main nue et de l’autre aidé de sa dague. Le gobelin le regard aussi fou qu’affamé, laissa coulé a toute volé sa bave gluante et puante sur Kara qui n’apprécia pas du tout. Tout d’un coup, le gobelin changea d’air. Son visage se transformant de la faim a la terreur. Kara profita de se moment de faiblesse pour lui envoyé un grand coup de pied gauche, qui envoya le gobelin sur le dos. Très en colère de cette accueil, même furibonde, elle se releva sur ses pieds, malgré la petite voix qui lui disait de rester assisse. Même si tout tournait encore autour d’elle et que du sang n’arrêtait pas de couler sur sa tête, elle vue les gobelins prendre leurs jambes a leurs cou et s’enfuirent en courant en criant de terreurs. Kara tourna la tête vers la droite, ou se trouvait une fenêtre et remarqua que ses yeux avaient complètement changés de couleurs pour devenir rouges sang et qu’elle avait commencé sa transformation en loup. Son visage était maculé de petits poils blancs. Mais peu a peu, ses poils disparurent et ils ne resta plus que les yeux fou de colère de Kara, qui tomba dans l’inconscience, seule dans une ruelle sans vie.

Lorsqu’elle se réveilla, la nuit était tombée et la lune était déjà a mis hauteur dans le ciel. Sans se lever, Kara regarda autour d’elle. Son corps reposait dans un petit confortable, dont ses pieds dépassaient et pendait dans le vide et ou elle n’avait plus vêtement. Kara se toucha la tête et remarqua qu’un bandage avait été fait tout autour de sa tête. Sa canne reposait non loin d’elle, et sur une petite table nuit reposait une faible lumière d’une chandelle et une pile de vêtements qu’elle ne reconnut pas. Retenant la couverture sur elle, Kara se redressa sur ses coudes. Sa tête tournait encore un peu, mais elle voyait clair. Elle s’assit donc, et lorsqu’elle fut sûr qu’elle ne retomberait pas dans les pommes, elle sortit du lit et enfila les vêtements. Elle portait une grande toge blanche qui lui arrivait a mi hauteur des genoux et qui lui faisait a la perfection et avait un pantalon, blanc aussi, qui lui arrivait aux mollets. Quand elle fut prête, Kara s’empara de sa canne et alla ouvrir la porte. Se penchant pour ne pas recogner sa tête. Désorienté, Kara se laissa guider pas les voix qu’elle entendait qui semblait venir d’en bas et fut soulager lorsqu’elle découvrit qu’elle était dans une maison d’une famille naine. Kara descendit les marches et lorsqu’elle fit son apparition dans se qui semblait être la cuisine, deux têtes se tournèrent vers elle.

-Et bien et bien!!,gronda celui qui semblait être l’homme de la maison, au dirait que notre jeune amie s’est enfin réveillé!

-Bonjours! Venez, n’ayez pas peur. Vous avez vécu assez de moment éprouvant pour aujourd’hui.

Une petite femme s’approcha de Kara lui tendit la main, qu’elle n’hésita pas a prendre et se laissa guider jusqu'à la table ronde de la cuisine. La femme avait de beaux cheveux longs, roux, qui lui arrivait jusqu'à la taille et un visage qui laissait transparaître une sagesse donc un nain ne pouvait généralement pas bénéficier. En plus de sa beauté, la femme naine avait une voix enjôleuse et douce qui pouvait vous faire faire n’importe quoi. Tandis que l’homme, qui était resté assit et l’a regardait d’un regard méfiant, semblait ne pas lui faire confiance du tout. Il portait une longue barbe rousse et des cheveux long digne d’un nain. Lorsque Kara fut assise, la femme lui apporta un pichet d’eau fraîche et froide que Kara bu d’un traite.

-Que vous est-il arrivé dans cette ruelle pour que vous soyez si faible et blessé?, demanda la femme.
-Ça ne saute pas aux yeux. Beaucoup sont ceux qui ne remarque pas cette satané pancarte et tombe toujours dans un piège des gobelins., dit l’homme, grincheux.

Tout a coup, des bruits de pas se fit en arrière. Kara se retourna, mais ne remarqua rien. Puis elle fixa l’homme qui venait de levé les yeux au ciel.

-Vous ne devriez pas être couchés depuis longtemps?

Sortant de l’ombre, une ribambelle d’enfants attaquèrent Kara et l’entoura. Kara les yeux rond, fut submerger par au moins une dizaine d’enfants qui l’entourèrent, les yeux pétillants de curiosité.

-Quel est ton nom?
-Qu’est-ce qui t’es arrivé?
-D’ou viens-tu?
-Pourquoi as-tu les yeux rouges?
-Je…euh…je….
-Allons, allons les enfants. Laissé respiré un peu notre pauvre amie, déclara la femme.
Pendant que le père partait d’un rire joyeux, deux des enfants s’assirent sur Kara pendant que d’autres prenaient place autour de la table et allait s’asseoir sur leur père,
Kara, le sourire au lèvre, repondit a leur question.

-Je m’appelle Kara. Je viens de très loin, du plus profond d’une forêt étrange ou vivait des chasseurs. J’ai beaucoup voyagé. J’ai marché dans un désert, ou j’ai monté un grand tigre. Je suis passé par la ville de Zakarum, puis je suis arrivé ici., Kara racontait son voyage comme si c’était une aventure magique qu’elle avait vécu, sous les regards émerveillés des enfants. J’étais accompagné aussi. Il s’appelle…Il s’appelle…

Kara perdit son sourire. Fronçant des sourcils, elle tenta de se rappeler, mais en vain. Puis un enfant s’écria :

-Regarde maman…Ses yeux changent de couleur.

En effet, les yeux de Kara redevinrent aussi noirs que la nuit, mais elle ni porta pas attention, tentant de se rappeler. Puis le père, d’un ton autoritaire, obligea les enfants d’aller se coucher car il se faisait tard. Leur mère les emmenèrent donc tous au lit, pendant que le père continuait de parler a Kara, qui était toute déboussoler.

-Vous avez pris a sacré cou., dit-il avec un faible sourire aux lèvres. Souvenez-vous de ce qui s’est passé?
Dans un soupir, Kara laissa échapper un non, puis le nain continua.

-Je marchais avec mes enfants et ma femme lorsque nous avons passé devant une ruelle et que nous vous avons trouvé. Il coulait beaucoup de sang de votre tête. Il y avait des traces de bagarres. Je crois que vous avez été attaqué par une bande de gobelins assoiffés de sang. Mais pour une raison que j’ignore, ils se sont enfuis et vous ont laissé la, par terre, dans une marre de sang. Cela faisait longtemps que nous n’avons pas vue un demi-elf par ici. Ma femme a jugé bon de vous prendre et de vous apportez ici, dans notre demeure pour vous soigner et vous guérir. Mais si ce que vous dites est vrai, et que vous étiez accompagné, cela veut dire que quelqu’un doit vous chercher.

Quelques instants plus tard, sa femme revint, avec une trousse de premier soin. Kara se laissa faire, pendant que la naine changea son pansement. Beaucoup de choses et d’informations se mélangeaient dans sa tête.
‘’Comment ai-je pu oublier?’’
Sans le vouloir, des larmes coulèrent doucement sur ses joues. L’homme nain se leva, donna un baiser sur le front de sa femme et sortit de la pièce, préférant laisser les femmes discuter entre elles. Après avoir finit de dérouler le pansement autour de sa tête et d’en avoir mit un nouveau, la naine essuya les larmes de Kara, puis la regarda dans les yeux.

-Ne vous inquiétez pas. Il normal que vous vous ne vous souvenez pas. Vous avez reçu un grand coup sur la tête. Vous vous souviendrez. Laissez-vous le temps.
-Et si je n’avais pas le temps?

La femme naine prit Kara dans ses petits bras, puis elle la raccompagna dans sa chambre d’amie, ou Kara ferma les yeux sans trouver le sommeil et ou deux petites larmes coulèrent sur ses joues silencieusement.

Peut-être ne trouva t’elle point le sommeil, mais sans le vouloir, des images se mirent a bouger devant elle. Elle vit plusieurs scènes ou elle se voyait, elle accompagné d’un homme a cape rouge. Kara voyait son visage, ses traits, mais elle ne se rappelait pas qui il était pour elle et qui il était tout simplement. Puis tout changea et elle vit une scène épouvante ou deux bêtes féroces se combattaient. Lorsqu’une lance transperça la peau de la bête, Kara ressentit la douleur comme si c’était la sienne, puis tout devint flou et noir et elle se réveilla. Agité, elle ne comprenait plus rien. Elle se prit la poitrine qui lui brûlait et lorsqu’elle fut atténuer, Kara se leva et prépara ses affaires pour partir et trouva sur la table de nuit ses vêtements.

Avant de sortir, elle regarda dans qu’elle état elle était. Kara était en effet en piteuse état. Sa tête était enroulée d’un grand bandage blanc, sa peau était aussi pâle que d’habitude, voir même transparente et elle avait des cernes sous les yeux. Par chance, ses vêtements étaient propre.
Prête, elle sortit de la chambre et descendit dans la cuisine. Mais une surprise l’y attendait, car se retournant par la même occasion, la femme naine eue le saut en voyant la jeune femme entrer dans la cuisine.

-AH!!, lâcha t’elle, surprise. Mais, que faites-vous avec votre sac? Vous compter partir? Mais il est encore trop tôt, cela ne fait qu’un jour.

-Je sais. Mais une partie de moi sait qu’il ni a plus de temps a perdre et que j’en ai assez perdue. Je vous remercie sincèrement de votre hospitalité.

-Savez-vous quel chemin prendre?

-Oui..Une partie de moi sait qu’elle chemin suivre et je sais ou je dois me rendre.

-Faites attention a vous. Et regardez bien ou vous mettez les pieds. Surveillez toujours vos arrières. Le danger rôde a l’extérieur des murs.

La femme naine s’approcha et obligea Kara de rester encore un peu, le temps qu’elle change une dernière fois son bandage et qu'elle mange, puis elle l’a pris tout doucement dans ses bras et Kara quitta la cuisine, armée de sa canne.

Kara suivit les chemins, sans savoir par ou se diriger, puis tout a coup, elle sentit une présence dans son dos. Elle se retourna, brandissant sa canne. Deux petites filles naines s’approchèrent de Kara, sans pour autant avoir peur, et elles leurs prirent chacune une de ses mains.

-Suis-nous! Suis-nous!, lui ordonna une des deux, nous savons ou se trouve ton ami!

Kara se laissa donc guider par les deux jeunes filles. Elles passèrent a la place centrale de la ville, et se dirigèrent vers un bars. Kara s’accrocha dans le panneau et eu un flache. Ce n’était pas la première fois qu’elle venait par ici. Elles entrèrent dans l’établissement, vide encore a cette heure-ci de la journée.
Mais deux silhouettes se dessina, assisse au bars. Tout ce qu’elle pu y reconnaître, c’était la grande cape rouge qu’elle reconnut de dos. Mais l'autre, par contre lui semblait inconnu. Kara prit une grande inspiration, et en même temps, elle sentit la présence d'un animal dans la pièce, un félin, semblait-il.
Une des petites lui lâcha la main pour aller se planter en arrière d'une des deux silhouette, et lui tirer le bout de la cape. La silhouette se pencha et la petite lui chuchota quelque chose a l’oreille. Puis elle repartit a la course vers Kara. Celle-ci se pencha et embrassa le front des deux jeunes filles en les remerciant. Sourire au lèvre, elles sortirent du bars, laissant Kara seule avec les inconnus. La silhouette de gauche se pencha sur celle avec la cape rouge et lui chuchota a son tour quelque chose. Puis la silhouette a la cape, se retourna...

Armidir ouvrit les yeux. la pénombre inondait la pièce, ce qui lui fit se demander si c'était encore la nuit. Puis, il se rapella:«Nous sommes dans une montagne. Le soleil y est invisible...» Il se redressa, fit quelques étirements et se leva malgré la fatigue qui lui inondait les yeux. Il alla dans la cuisine mais il n'y avait aucun son. Kara devait encore dormir. Il mangea quelque chose avant de retourner sur son lit. Il prit le bouquin et se mit a le lire plus attentivement.

Au bout de deux bonnes heures de lecture, il se leva, un torticolis le fesant souffrir, et alla s'assurer que tout allais bien. Il ne voyait pas le soleil mais il savait qu'il était tard pour se lever, ne serai-ce que car il ne se sentait pas fatigué du tout ou tout simplement le bruit qui émmannait de la ville naine. Il alla voir dans la chambre de Kara et... Horreur. Elle avait disparue. Mais cela faisait alors plus de 2h30 qu'elle était partie et il n'avait toujours pas de nouvelles.
Il prit ses choses et sortit de la maison. Il venait d'arriver dans la ville et pas de Kara en vue. Pourtant, elle serait plus grande que tout le monde. Il interrogea bien des gens mais en vain. Personne ne savait ou était Kara. Il s'assit sur un banc et contempla les genre passer devant lui. Une Jeune mère naine avec quatre enfants passa devant lui. les enfants, excités se séparaient de leur mère et se perdaient dans la foule, puis revenaient comme si de rien était. Armidir se dit que Kara n'étais plus un enfant après tout. Elle reviendrait. Lui, il comptait profiter de la journée pour visiter.

Il commença pas les commerces. Des forgerons nains envahissaient le marché avec tous des annonces et des spécialités différentes. épées, boucliers, hache,marteau de guerre, mais aussi clés, poterie, mobilier. La plupart des choses semblaient être en métal. Et ce qui était encore plus nombreux que les forges, c'était les tavernes. Des vertes,des bleus,des calmes,des bordéliques, pour boire, pour jouer. Il y en avait pour tout les goûts. En passent devant une forge d'arme, une envie lui prit d'aller s'acheter une épée. Puis il se ravisa. «A quoi me servirait une épée la ou je m'en vais. Et En plus, je parie que c'est bien trop cher».

Il continua a faire le tour des commerces , suivit par un tour dans les quartier résidentiels( ce qui le fit bien rire la bas était la taille des portes de maison.). Mais le plus époustouflant, fut quand il arriva au centre de la ville. Un immense espace circulaire, trôné par une scène métallique ornée de différents symboles. Mais l’important n'étais pas là. Le sol de cet espace était recouvert d'un dessin en or représentant le symbole du dieu des nains avec une hache à sa base. Des joyaux d'une taille énorme gisaient sa et là entre les lignes pour rendre le dessin coloré d'une inestimable valeur. Le tout était recouvert par une immense plaque d'une substance transparente qui servait de plancher. Le chef d'oeuvre, selon ce que disait une petite pancarte près de l'entrée, s'apellait :"Knurl Otho".Il se promena dessus pendant une bonne demi heure en regardant ce qui se passait autour. Puis, vers la fin de la journée, il retourna à la maison, ravi de sa visite. Mais une question bien plus important l'affligea quand il arriva "cher lui" Kara était toujours absente.

(Sophie( ou quiconque), lit pas la parenthèse qui suit c'est entre moi et Steph)( P.S. si steph tu voit ce RP c'est que tu t'est enfin décidée de venir répondre, ou bien que tu était curieuse de savoir ce que j'ai écrit puisque tu aurais recu un e-mail t'avertissant d'un nouveau post... Malheureusement, tu a été si longue que nous nous sommes tannés et avons continués sans toi. Je sais que c'est cruel mais toi tu l'est aussi en me retirant la XBox sous pretexte que «c'est la vie bobbie». Serieusement sa m'a fait chier.non je comprend le principe que il était pas la avant et que il pouvait partir n'importe quand, mais imagine toi que la wii est a moi et ue tu vien de commencer twillight princess et que la je la prend je la met dans ma chambre et que tu peut plus y toucher. Va pas me faire accroire que tu ferais juste « tant pis trouvons autre chose. NBon tu serait en beau criss apres moi. Sérieusement, je te fais plein de services et quand je te demande quelque chose de simple tu m'envoi chier. sa me tombe tellement sur les nerf que je dois te le dire par un post de RP pour ne pas peter un coche. Serait il posible que tu prenne plus en considération que non sa me dérange pas d'aller chercher ton vers deau par si, tes olives par la, mais toi envoi moi pas chier. Okay quand je te demande la XBox c genre ben sauvage mais tu sais que dans le fond jveut juste dire est-ce que je peut l'avoir. Pi dit moi le en pleine face que sa te gosse. Et en plus cela fait au moin un mois que on attend ta réponse et j'en a plein le Cul alors tant pis pour toi. Répond quelque chose si tu veut je m'en fou tu peut même deleter mon post car je t'avertis je vais te controler. tu ne répond pas alors si personne ne te controle ou iras tu?. donc comme je disait, si tu veut deleter le post, vas y, mais je vais le revoyer car je vais l'avoir Gardé sur word. Si tu veut me bannir, vas y mais sache que je te trouverais extremmement conne et stupide voire même complètement tarée et cruelle, et je te jure que tu le saurais dans la vraie vie. Et ne t'avisepas de m'engueuler dans la vraie vie pour ce texte car jva vraiment peter un ***** de coche. Bonne lecture et Bye Bye du RP)

Armidir s'assit sur une chaise et prit une grande respiration. Kara était disparue et elle ne lu9i avait laissé aucune trace de son départ. ce qui veut dire qu'elle comptais revenir, ou qu'elle s'est fait enlever. Dans les deux cas, Quelque chose ne tournait pas rond. Il prit toute ses choseset sortit de l'habitation en pierre. Il cherchait deux chose. Ou bien Kara, Ou bien la mysterieuse pseudo-féline qui les avait fait entrer dans la ville. Peut-être connaissait-elle la ville asser pour l'aider a retrouver son amie. En plus, il avait deux trois choses a lui dire...

Il commença par aller voir a Knurl Otho, car il y avait vu bien des gens. Il traversa de fond en comble l'endroit sa trouver ni humaine, ni louve garou, ni quoi que se soit d'autre que nain. Il s'assit alors sur un banc au contour de la place et se mit a réfléchir ou pourrait aller Kara. En dehors de la ville? non pas sans sa tigresse et ce serait trop risqué. Au commerce? Bien sur que non elle n'aime pas être trop en public. Mais ou...

Une idée lui vint a l'esprit. Elle avait été a une taverne a Zakarum, signifiant qu'elle fréquentais parfois, voir souvent des endroits comme celui là. Il se mit alors a faire le tour des tavernes. Dans une ville naine, il devait bien y en avoir des centaines. Il entra dans chacune d'entre elle et demandais au tavernier:«Avez vous vu une sorte de femme-louve ou une sorte d'humaine elfique?». Ils répondaient tous non pour Kara, Mais disait bien connaitre l'Ombre( ainsi appelaient-ils l'humaine elfique ).

Au bout d'une journée entière de recherche, une seule taverne restait inexplorée. La taverne au Troll Ivre. Il poussa les volets de la porte et regarda autour. Il ne vit pas Kara, mais sembla discerner un mouvement lors de son entrée à sa droite. Il s'approcha du tavernier et demanda si il avait vu L'Ombre ou la jeune louve-Garou. Cette fois, la réponse fut plus fructueuse.

-Bien Sur que j'ai vu l'ombre! elle est juste là bas! dit le nain avec son accent.

Armidir se retourna et vit belle et bien la femme cachée dans les ténèbres au fond de l'auberge, a un endroit similaire a ou ils étaient a l'auberge qui avait prit en feu quelques semaines plus tôt.

-Hey L'Ombre! cria le tavernier. Il y a un Rigolo ici pour toi

L'ombre se retourna et vit Armidir près du comptoir. Étonnamment, elle semblait attendre son arrivée. Elle s'approcha de lui et il prit la parole en premier.

-Bonjour L'Ombre.Je tenais a te remercier de nous avoir aidé a entrer dans la ville et de nous avoir hébergé, mais j'aimerais bien que tu m'explique pourquoi tu as agi ainsi. Mais tu me le racontera plus tard, maintenant j'ai besoin de ton aide. Mon amie, Kara, celle qui est entré a minéril avec moi, Est portée disparue. et je me demandais si tu pourrais m'aider a la rechercher.

Comme l'ombre vint pour prendre la parole, une vague lumineuse envahit le centre de la salle. La porte principale venait d'être ouverte et dans son centre se tenait une femme relativement jeune et belle, et qui portait ses cheveux relativement courts, qui s'arrêtaient juste sous ses oreilles. Un mèche de ses cheveux noire pendait sur son front.

-Kara?!?!

Tout se bouscula dans sa tête. Kara semblait reconnaître la voix, mais elle n’arrivait pas à la placer.
‘’Mais qui est-il?’’, se demanda-t-elle.
Le temps sembla se suspendre. Plus elle pensait, plus tout s’écroulait devant elle. Elle regarda l’homme d’un air interrogateur. Puis d’une main elle se prit la trempe. Elle chercha ensuite du regard un band où elle pourrait s’asseoir, puis lorsqu’elle fut assise, elle dit à l’homme d’une voix calme, mais comme essoufflé :

-Qui êtes-vous?

La suite se déroula aussi vite qu’elle eut prononcé ses mots. Ne laissant pas le temps à l’homme de répondre, des cris de terreurs parvenant de l’extérieur retentirent dans tous le village. Une centaines de gobelins assoiffés de sang sortirent de tous les coins du village et convergèrent vers les maisons des nains. Mystérieusement, quelque chose les avaient fait sortir de leur cachette, car tous savaient qu’ils n’osaient jamais sortir des profondeurs de leur noirceur. Alarmé par le vacarme, Kara regarda par la fenêtre ce qui s’y passait. Les hommes nains essayaient de faire entrer leur famille à l’intérieur de leur maison et prenaient leurs haches pour repousser la menace. La femme qui était au côter de l’homme se leva brusquement, se dirigea vers la porte à grand pas et dit avant de partir :

-Une puissance maléfique essai de vous défaire de votre mission. Ne l’oubliez pas. Courez tant que vous pourrez et sauvez ce qui reste de notre monde. Pour l’heure, je vous aurais aidé à franchir les portes, mais un long chemin vous attend encore. Tant qu’à moi, je m’occuperais de ses horreurs moi-même.

Sur ces mots elle disparut et envoya un message à Armidir en sourdine pour lui signifier de prendre Kara avec lui et de s’en aller au plus vite.
Kara la regarda partir sans mot dire, puis se demanda se qu’elle avait voulu dire. Décidément, elle avait oublié beaucoup de choses. Ne sachant pas quoi faire, Kara regarda l’homme qui se tenait maintenant debout, stupéfait, cherchant une quelconque réponse sur son visage et attendit qu’il daigne lui faire un signe, lorsqu’elle entendit le barman leur crié :

-Vite venez, j’ai un passage où vous pouvez passer!!!

-Qui êtes vous?

Cette réponse le percuta comme un coup de marteau. Elle ne se souvenait plus de lui! impossible... que s'était il passé? parlait elle a L'ombre? pas apparemment elle le regarde lui. Mais c'est impensable. Eux qui étaient si proche

Comme il allait lui demander ce qui se passait, Un choc fit trembler la ville jusqu’à ses fondations. des gobelins sortaient des trous dans la ville pour venir l'envahir. Un scène d'horreur remplaça en un instant la paisible ville de Minéril. L'Ombre se mit a marcher vers la porte et dit :

-Une puissance maléfique essai de vous défaire de votre mission. Ne l’oubliez pas. Courez tant que vous pourrez et sauvez ce qui reste de notre monde. Pour l’heure, je vous aurais aidé à franchir les portes, mais un long chemin vous attend encore. Tant qu’à moi, je m’occuperais de ses horreurs moi-même.

Armidir eut envi de l'en empêcher mais se repris. Après tout, si elle voulait se lancer a la mort, pourquoi pas si cela pouvait sauver les nains. Cela le chagrinait quand même. Il ne la connaissait même pas et il semblait l'apprécier quand même.

Le tavernier les interpella quand L'Ombre venait de franchir la porte. Cela ne semblait pas l’inquiéter le moindre du monde qu'une célébrité apparente de ce village se lance a la mort.

-Vite venez, j’ai un passage où vous pouvez passer!!!

Armidir prit le bras de la lycanthrope et s’élança avec elle dans le passage indiqué par le nain. Ils entendiret le nain sortir une arme, la porte de la taverne défoncer et la porte du passage se refermer lentement. Le dernier son que l'on entendit fu celui des gobelins qui s'élancaient sur le pauvre tavernier. Armidir jura entre ses dents et se remit a courir.

-Écoute moi bien. Si tu m'as vraiment oublié, alors sache que tu peut me faire confiance. Nous en reparlerons plus tard mais maintenant suis moi et ne fait pas de bêtises.

Armidir se mit a décendre un escalier a pic a toute vitesse. Arrivé en bas, cela ressemblait a une cave a vin. Des centaines de barils de vin de long tapissaient les murs. Ils courrirent jusqu’à arriver au fond de la salle. Le couloir rétrécissait et les obligeait a marcher a quatre pattes. Ils débouchèrent alors a un tunnel plus large qui semblait ne pas avoir été emprunté depuis un siècle. des toiles d'araignées remplissaient le couloir de blanc et les murs suintaient d'eau souterraine. Ils se mirent a marcher plus lentement, persuadés qu'aucun gobelins ne se rendraient ici. Par contre, ils se refusaient mutuellement la conversation a cause d'un froid qui s'était installé. Kara l'avait oublié et malgré qu'il savait bien qu'elle avait du subir quelque chose, cela le frustrait. Comment avaient t-elle pu Osé l'oublier alors qu'il allait lui avouer que...

Il oublia ces pensées asser rapidement quand il entendit un bruit étrange arriver du mur de droite. Il se colla l'oreille sur le mur humide et tenta d'écouter. des bruit de pelles, des grognements... LES GOBELINS VOULAIENT ATTAQUER MINÉRIL PAR EN DESSOUS

Il n'était pas questions qu'il laisse la plupart de la population naine se faire décimer par ces horribles bêtes, surtout si c'est de leur fautes. Heureusement ( ou presque),ils creusèrent un mètre trop loin. Ils débouchèrent dans le tunnel qui servait de fuite a Armidir et Kara et furent accueillis chaleureusement. Armidir, maintenant les yeux jaunes et les griffes dégainées, sauta sur le premier gobelin venu et lui arracha la tête. Seul contre plusieurs gobelins, ils ne pourraient s'en sortir. Par contre, Armidir avait un plan. Il utilisa l'aide de Kara et ils repoussèrent les gobelins dans le tunnel qu'ils avaient creusé. Armidir se concentra très fort malgré le bruit et les coups et fit jaillir un mur de flamme a l’intérieur du tunnel. Par contre, il n'utilisa pas son potentiel protecteur. Il le fit apparaître du même sens que le tunnel, brûlant la plupart des gobelins qui se trouvaient dans la portée du mur de flammes. Ensuite, Armidir Fit appel a Kara et a lui et ensemble ils firent s'écrouler une partie du plafond de leur tunnel dans le croisement pour boucher l'entrée au tunnel du nain. une odeur putride de gobelin brûlé semblait provenir de l'autre coté des rochers.

Armidir lâcha un soupir et, le sourire au lèves se remit a gambader dans le tunnel vers la sortie comme si de rien n'étais...

Lorsqu’Armidir la pris par le bras, Kara se laissa guider et le suivit sans mot dire. Puis elle essaya tant bien que de mal à le suivre dans les tunnels où il n’arrêtait pas de se mettre à courir, tandis qu’elle était avec une canne. Au bout d’un moment, elle allait dire quelque chose, mais Armidir dit avant elle :
- Écoute- moi bien. Si tu m'as vraiment oublié, alors sache que tu peux me faire confiance. Nous en reparlerons plus tard mais maintenant suis moi et ne fait pas de bêtises.
Sur ces mots, elle n’ajouta rien et continua à le suivre à l’aveuglette. Kara ne savait pas pourquoi, mais quelque chose au fond d’elle lui disait qu’elle pouvait lui faire confiance. Plus tard, ils entendirent des gobelins qui creusaient et leurs bloquèrent le chemin, mais quelque chose se passa. Les mains de l’homme se mirent à brûler, puis il enflamma les gobelins, sous le regard effrayé de Kara.
‘’Le feu…’’’
Des scènes lui revinrent à l’esprit. Un bar en flamme. Des hommes qui combattaient. Mais ce flache ne dura pas longtemps, car l’homme repartit comme si de rien n’était et elle du le suivre.
Ils aboutirent finalement sur une montagne couverte de neige, où le soleil brillait de mille feux et que l’air froid et glaciale ne pouvait pas vous atteindre. Essoufflée, Kara reprit son souffle et s’assis sur un rocher non loin d’elle. Kara regarda autour d’elle pour voir où ils avaient aboutit. Lorsqu’on regardait au loin, on pouvait voir les nombreux pics blancs qui s’enchaînaient tour à tour comme une barrière pour bloquer un passage. Ensuite elle regarda dans la direction de l’homme. Il se tenait, là, debout, et la regardait aussi. Kara s’appuya le menton sur sa canne, mal à l’aise. Que pouvait-elle bien lui dire? Un profond malaise se plaça entre eux. Kara ne savait pas pour où commencer. Elle ne se rappelait même pas de lui et avait de la difficulté à distinguer le réel à l’imagination.
‘’Qu’est-ce que t’attend pour dire quelque chose!’’, gronda une voix en elle.
‘’Mais, qui parle.’’
‘’Le loup en toi. Tu as peut-être perdue la mémoire, mais moi je l’ais…euh….fait comme si je n’avais rien dit.’’
‘’Quoi? Mais de quoi parles-tu?’’
Aucune réponse. Ne sachant que faire, Kara attendit que l’homme commence à dire quelque chose, car, après tout, c’est lui qui avait dit qu’ils en reparleraient…

( relocation: sur les abords des pics blancs a quelques Km de l'entrée de Minéril vers l'est)

Ils sortirent du tunnel sans autres encombres.Armidir prit quelques secondes pour se remettre de son éblouissement. Il n'avait pas vu la lumière du soleil depuis au moins 2 jours. Kara alla s'asseoir sur un rocher et s'accota sur sa canne tandis que Armidir examinait les alentours. À sa droite, les pics blancs montaient relativement rapidement et a sa gauche, un terrain plane qui était en fait les terres arides. Il eut une pensée pour l'exploit qu'ils avaient accompli en traversant plus de la moitié du territoire d'Izildor en chevauchant leur tigres. LEUR TIGRES?!! Mais Kara ne devait pas s'en souvenir... elle avait visiblement perdu la mémoire. Il n'était pas question d'abandonner Ridmira aux gobelins. En même temp... ils n'auraient pas pu les trainer dans les pics blancs. le désert n'était pas leur point fort mais les montagnes... ils en seraient morts. ET de toute façon L'ombre allait s'en occuper il en était sur. Il tentait évidemment d'écarter de sa tête que Minéril et L'ombre soient tombés. Ensuite... daans le même courant de pensée, il se demanda comment lui, un homme DRAGON, survivrait aux pics blancs... il le devrait pourtant.

le silence prit place dans la tête d'Armidir et il réalisa enfin comment Kara ne parlait pas. Un malaise semblait profondément encré dans son regard et ses yeux criaient. Elle voulait comprendre, mais elle ne pouvait le faire seul. Armidir ne pouvait l’abandonner ainsi a son triste sort dans l'inconscience du monde auquel elle allait faire face. Il s'assit en indien devant elle et la fixa. Celle ci semblait profondément troublée. Armidir eu du mal a supporter ce regard. Sa compagne de voyage et meilleure amie était perdue.

-Alors tu ne te souvient pas de nous... * soupir* je vais commencer avec les grandes lignes et dit moi si quelque chose t'accroche
Nous nous sommes rencontré dans une forêt appelée la forêt des lianes. nous firent connaissance et puis...

Il se rapella l’évènement dans lequel Kara et lui faillirent partir chacun de leur côté a cause qu'il croyait que l'un l'autre allaient se rejeter. Il ne savait pas si elle savait qui il était et si elle même savait qui elle était. Ses yeux s'étaient perdus dans les siens quand il racontait l'histoire. Tell me who I am.... C'est se que semblait vouloir dire son regard. Il eut envi de la prendre par pitié. Ce regard l'attristait au plus profond de son âme. Il ne voulait pas la décevoir ni la confondre d'avantage. Il décida de passer cette partie.

- tu t'est fait capturer par des hommes poissons et je suis venu te chercher. J'ai eu du mal mais j'y suis parvenu. Nous avaons ensuite décidé de partir de cette forêt de peur qu'ils reviennent. Nous... euh J'ai été nous chercher des tigres pendant que tu euh... dormait, et nous sommes partis pour les terres arides... Sa va jusqu’à date?

Assise sur sa roche, Kara écouta l’homme lui relaté l’histoire, leur histoire, du début. Pendant qu’il parlait, Kara ne pu le lâcher des yeux.

-Alors tu ne te souvient pas de nous... * soupir* je vais commencer avec les grandes lignes et dit moi si quelque chose t'accroche
Nous nous sommes rencontré dans une forêt appelée la forêt des lianes. nous firent connaissance et puis...

Pendant que l’homme semblait réfléchir pour peser ses mots, Kara remarqua qu’il était aussi désarmé qu’elle. Il semblait même triste de la voir aussi piteuse. Mais lorsqu’elle voulu parler, il continua :

- tu t'est fait capturer par des hommes poissons et je suis venu te chercher. J'ai eu du mal mais j'y suis parvenu. Nous avaons ensuite décidé de partir de cette forêt de peur qu'ils reviennent. Nous... euh J'ai été nous chercher des tigres pendant que tu euh... dormait, et nous sommes partis pour les terres arides... Sa va jusqu’à date?

Kara ferma les yeux. Pendant un moment, elle essaya de se rappeler ses évènements. Puis, comme par magie, des images de scène sanglantes et étranges se succédèrent. Mais les images allèrent plus loin que ce que lui avait raconté le conteur. Elle les repassa tous un par un, jusqu’à ce qu’elle arrive au moment le plus effrayant. Des gobelins apparurent dans son esprit. Mais elle dut lâché prise, car un mal de tête la submergea et elle ouvrit les yeux. Se qui avait semblé durée des heures n’avaient duré en fait que quelque seconde. C’était comme voir un film, mais en mode avancé. Quand elle ouvrit les yeux, elle se prit les trempes et regarda l’homme.

-Je…Je me rappelle. Tous ce qui s’est passé. Je l’ais vue et ressentit. Mais je n’arrive pas à me rappeler comment j’ai pu perdre la mémoire. Je me rappelle des évènements, mais je n’arrive pas à me trouver. Je…Je ne me rappelle même pas ton nom….ni même le miens….

Kara s’arrêta. Pourquoi n’arrivait-elle pas à se rappeler de son nom tandis qu’elle s’en rappelait il y a peine quelque heure? Elle regarda de nouveau l’homme assit devant elle. La phrase qu’elle venait de sortir semblait être une phrase de trop. L’homme semblait bouillonné de l’intérieur. De peur qu’il n’explose, Kara se leva, s’assit en face de lui, en prenant soin d’étirer sa jambe, puis elle pris la main de l’homme dans la sienne.

-Je suis désolé. Je ne voulais pas te faire souffrir. Je…Je ne comprends même pas moi-même. Je sais comment tu t’appelle, seulement, je n’arrive pas à le trouver. Je suis désolé Armidir.

Kara eut un hoquet de surprise en l’attendant prononcé son nom. Enfin, elle l’avait trouvé. Kara remarqua comme une lueur d’espoir brillé au fond des yeux d’Armidir.
Toute souriante, Kara répéta son nom plusieurs fois pour être sur de ne pas l’oublier.

-Armidir! Armidir!Armidir!!!

Sourire au lèvre, Kara retrouvait elle aussi peu à peu de l’espoir. Mais son sourire disparut aussi vite qu’il eut apparut, car elle ne se souvenait toujours pas de son nom. Mais malgré tout, sans sans rendre compte, Kara tenait toujours la main d'Armidir dans la sienne...

-Qui suis-je Armidir? Quel est mon nom? J’ai beau me rappeler notre histoire, mais je ne me rappelle pas ce que j’ai fait avant de te rencontrer, où j’étais, avec qui? Dis-moi Armidir, le sais-tu?

Kara l'écoutait parler et quand il eut fini, elle prit la parole.

-Je…Je me rappelle. Tous ce qui s’est passé. Je l’ais vue et ressentit. Mais je n’arrive pas à me rappeler comment j’ai pu perdre la mémoire. Je me rappelle des évènements, mais je n’arrive pas à me trouver. Je…Je ne me rappelle même pas ton nom….ni même le miens….

Armidir souffla un peu... au moins elle se rappelait de ce qui s'est passé depuis leur rencontre. Seulement, elle ne se rappelait ni qui il était, ni qui ELLE était et ni comment elle avait perdu la mémoire. Armidir, même contre sa volonté, lui en voulait encore. Mais quand elle lui dit qu'elle se rappelait de tout sauf de lui... il du vraiment se contrôler. Il ne voulait pas, mais son instinct le rendait frustré et incroyablement offusqué. C’est alors qu’elle se leva, s’assit devant lui et lui prit la main. Tout de suite, toute la rage et la frustration s’envole. Son cœur battait la chamaille. Il baissa lentement les yeux pour voir les yeux sanglotant de Kara.

-Je suis désolé. Je ne voulais pas te faire souffrir. Je…Je ne comprends même pas moi-même. Je sais comment tu t’appelle, seulement, je n’arrive pas à le trouver. Je suis désolé Armidir.

Sur le coup, Armidir ne le réalisa même pas. Ses pensées étaient quelque part d’autre. Mais quand elle eut un hoquet de surprise il comprit. Tout de suite, il regagna espoir. Se rappelait-elle de tout?!

-Armidir! Armidir!Armidir!!!

Elle se mit a sourire joyeusement et Armidir fit de même. Il semblait qu’elle se rappelait enfin de lui. Aussi soudainement qu’elle s’était mit a crier de joie, elle arrêta et retomba mollement.

-Qui suis-je Armidir? Quel est mon nom? J’ai beau me rappeler notre histoire, mais je ne me rappelle pas ce que j’ai fait avant de te rencontrer, où j’étais, avec qui? Dis-moi Armidir, le sais-tu?

Cette question eut sur lui l’effet d’un poignard planté dans son cœur. Lui, il ne lui en voulait plus. Mais elle, elle était toujours perdue. Elle ne souvenait pas d’elle. Il vint pour tout lui expliquer mais stoppa son élan. Elle était une Louve-Garou. En plus, de se qu’il sait, elle se faisait toujours rejeter. Et il croyait que quelqu’un qui se croit rejeté, était rejeté.

-Ton nom est Kara… tu est une jeune humaine mais ton Age m’est inconnu. Il t’est arrivé plusieurs… Malchanceuse et tu a été transformée en loup fréquemment.

Il tentait le plus qu’il pouvait d’avoir l’air réaliste, mais il n’était pas très réaliste. Il se demandait surtout si il devait lui annoncer. Mais elle était confuse et perdue… sa la perdrait encore plus. Il décida d’attendre le moment propice.

La nuit venue, Kara alla se coucher et Armidir attendit qu’elle s’endorme pour aller vers les montagnes. Il monta un peu et s’assit sur un rebord de roche. Il regarda l’étendue orangée qui s’étendait devant lui. Les terres arides… ce lieu le rendait nostalgique. Il était plat, sans vie, sans action. C’était une terre morte. Une terre nostalgique….

Il se prit les yeux et se mit a pleurer en silence, seul, perdu sur son rocher comme on le serait sur une ile déserte ou on voit la terre. Il se coucha et s’endormit, le cheveux trempés dans ses propres larmes…

-Ton nom est Kara… tu est une jeune humaine mais ton Age m’est inconnu. Il t’est arrivé plusieurs… Malchanceuse et tu a été transformée en loup fréquemment.

Lorsqu’elle entendit son nom, Kara ferma les yeux et se le répéta en elle-même. Le fait de savoir au moins comment elle s’appelait soulagea Kara, même si une partie d’elle était encore confuse et briser.
À la nuit tombée, Kara s’installa pour dormir. Mais elle ni trouva pas de sommeil. Elle fit croire à Armidir qu’elle dormait et lorsqu’il disparut, elle rouvrit ses yeux.
Au fond d’elle-même, elle se sentait brisé et perdue. Mais ce qui la déchirait le plus, s’était de voir qu’Armidir semblait l’être plus qu’elle.
‘’Pourquoi est-il comme ça?’’, se demanda-t-elle. ‘’Qu’ai-je fait pour faire souffrir la seule personne que je connaisse et qui ne me repousse pas?’’Au bout d’un moment, sa vision se troubla et elle tomba en transe.
Son esprit vagabondait entre les scènes qu’elle voyait. Mais au bout d’un moment, tout s’effaça et elle se retrouva dans une pièce tout fait de noir où elle aperçut une dame tout habillé de blanc. La dame s’approcha de Kara et lui murmura à l’oreille :

-Je ne peux te révélé la vérité sur ton passé, sur qui tu es, mais je te donne un indice. Trouve la formule du voyage dans le temps dans le livre d’Armidir et tu verras que tout va s’éclaircir.

Kara se réveilla en sursaut. Le soleil commençait déjà à poindre au loin. Ce qui lui avait semblé durée quelque minute, avait en fait duré tout la nuit. Kara se releva et s’assit en s’accotant au rocher. Elle chercha Armidir du regard et le retrouva, plus haut étendue sur une colline. Comment avait-elle fait pour voir d’aussi loin? Mais Armidir n’avait-il pas dit qu’elle se changeait en loup. Cela voulait-il dire qu’elle était un loup-garou? Peut importe. Ce qui comptait, c’était de parler à Armidir de se qu’elle avait vue et de ce que la femme lui avait dit. Elle se leva donc avec la ferme intention de lui dire, mais s’abstint et attendit plus tôt qu’il se réveille.

Quelque heure plus tard, Armidir se réveilla, descendit de sa tour et rejoignit Kara. Mais avant qu’il n’est pu ouvrir la bouche, Kara, tout exciter, s’empara de la parole et lui dit :

-Bonjours.., elle laissa une seconde s’écouler ne voulant pas le laisser répondre et continua :

-J’ai eu une sorte de révélation…une vision si tu préfères et une dame m’est apparut. Elle m’a dit que tu avais un livre où il fallait chercher une formule en particulier. Une formule pour voyager dans le temps. C’est grâce à elle si nous allons pouvoir découvrir mon véritable passé et que je pourrais enfin revenir en mon état normal. Qu’en dis-tu?

Armidir se réveilla sur un rocher a flanc de montagne. Il avait une partie de la figure mouillée... de rosée il supposa. il ne se rappelait pas de ce qui s'était passé la veille. Il se rappelle simplement d’être monté la pour observer les terres arides puis plus rien. Il se releva et alla vers Kara qui était déjà levée. quelque chose semblait la préoccuper mais il n'y fit guère attention. quand ill allait Expliquer pourquoi il était sur la colline et non dans sa tante, elle le coupa brusquement

-Bonjours...

Armidir fit un signe de tête et s'en allait retenter sa chance pour prendre la parole mais elle le fit la première

-J’ai eu une sorte de révélation…une vision si tu préfères et une dame m’est apparut. Elle m’a dit que tu avais un livre où il fallait chercher une formule en particulier. Une formule pour voyager dans le temps. C’est grâce à elle si nous allons pouvoir découvrir mon véritable passé et que je pourrais enfin revenir en mon état normal. Qu’en dis-tu?

Une vision... une dame... sa roche lui avait parlée... évidemment... Un sort pour reculer dans le temps... Il l'avait bien lu quand il lisait le livre a Zakarum. Que voulait cette Dame dans la tête de Kara? Que voulait-elle qu'il fasse? Il n'avait pas trop le choix...

-Euh... oui j'ai bien ce sort... on pourrait essayer. Je ne garantis rien par contre. Premièrement, faisons a manger

Armidir tenta de faire un feu avec deux roches mais au bout de 5 minutes sans aboutissement, il se tanna et décida de cracher un mince jet de feu pour allumer le brasier. Il s'alluma aussitôt et Armidir mit des rations a cuire. Pendant qu'ils mangeaient, Armidir expliqua le sort a Kara

-Bon premièrement, pour que le sort nous touche tout les deux, nous devons nous tenir. Deuxièmement, les gens du passé ne nous verrons pas. Nous serons comme des fantômes. Aussi, nous devrons rester a moins de de mètres l'un de l'autre, sous peine que tu te ramasse prise dans le passée pour toujours. tu devra donc toujours me suivre pour ne pas te perdre. quand nous serons au passé, nos corps du présent seront contrôlés par des esprits secondaires. Ils n'ont comme seule fonction: manger, dormir et se défendre en cas d'attaque. Alors ne t'inquiète pas pour cela.

Ils se préparèrent donc. Armidir récolta le nécessaire et prit Kara par la main. Il passa près de perdre toute sa concentration quand elle le serra et se mit a respirer plus vite. Stressée sans doute... Armidir prononça des mots incompréhensibles puis, d'un seul coup, un vortex les aspira. L'arrachage de leur âme fut douloureux mais en même temps soulagent. Il était mafois étonnant comment sa pouvait faire du bien de ne plus habiter son corps matériel.

-Bon premièrement, pour que le sort nous touche tout les deux, nous devons nous tenir. Deuxièmement, les gens du passé ne nous verrons pas. Nous serons comme des fantômes. Aussi, nous devrons rester a moins de d’un mètres l'un de l'autre, sous peine que tu te ramasse prise dans le passée pour toujours. Tu devras donc toujours me suivre pour ne pas te perdre. Quand nous serons au passé, nos corps du présent seront contrôlés par des esprits secondaires. Ils n'ont comme seule fonction: manger, dormir et se défendre en cas d'attaque. Alors ne t'inquiète pas pour cela.

Kara écouta les paroles d’Armidir avec attention, puis lorsqu’ils eurent finit leur repas, ils se préparèrent pour prononcer la formule. Stressé, Kara pris la main d’Armidir et la serra. Elle allait enfin découvrir qui elle était réellement. Puis leur âme fut arracher de leur corps et ils furent aspiré dans un vortex. Kara et Armidir se retrouvèrent dans le noir, le néant, jusqu’à ce que des images apparaissent devant eux…

Caché au plus profond d’une forêt, une femme et un homme habitaient dans une toute petite maison où ils pouvaient vivre en paix et en toute tranquillité. La femme, aux longs cheveux noirs comme le jais flottant dans le vent semblait porter un enfant. C’était la mère de Kara. Elle semblait respirer la beauté et la jeunesse. Lorsqu’elle marchait, c’était comme si elle glissait sur la terre. Son visage était pâle et calme et semblait n’avoir aucune imperfection. Elle avait de long cheveux noirs qui lui tombaient dans le dos et lui arrivait à la taille. Tandis que son père, lui, était fort et robuste. Il portait les cheveux longs jusqu’à ses épaules et étaient aussi noir que ceux de sa femme. Son visage laissait paraître le parfait bonheur qu’il vivait, mais derrière cette façade ce cachait un visage remplis de colère, souffrance et de solitude.
Quelque jour plus tard, la femme mit au monde Kara. Ont pu entendre les cris de la mère essoufflés et les cris de l’enfant qui venait de naître. Puis lorsque la lune brilla dans le ciel, le père se transforma en énorme créature poilu et disparut dans la nuit. Le lendemain, on ne trouva aucune trace de lui. Sa femme avait beau le rechercher partout, elle ne le trouva nulle part. Son mari laissa donc derrière lui, une femme et un enfant.

Les années s’écoulèrent. Kara grandissait de jour en jour et plus les années passaient plus elle grandissait en beauté. Sa mère l’éleva du mieux qu’elle pu et gardait espoir qu’un jour elle puisse revoir son mari. Lorsque Kara eu 115ans, (l’âge d’une adolescente) c’est là que tous se déclencha. Kara dormait paisiblement, jusqu’à ce que sa mère la réveille. La pauvre femme semblait affolée, mais essayait de garder son calme, malgré tout.
-Kara, écoute-moi bien, lui dit la voix douce de sa mère une fois que Kara eut mis sa cape et son baluchon sur son dos et se préparait à sortir par une trappe secrète. Nous n’avons plus beaucoup de temps..
-Maman, dit moi ce qui se passe, larmoyait Kara.
-Tout ira bien. N’oublie pas que si un jour tu te perds, suit tes pieds et ils te ramèneront à la maison. Je t’aime ma chérie!
La mère de Kara l’embrassa sur le front, puis l’a pris dans ses bras une dernière fois, avant de lui faire signe de courir. Kara sortit de la maison et partis se cacher derrière un buisson, attendant de voir ce qui allait se passer sans se douter qu’elle allait le regretter plus tard.
La vrai Kara qui se trouvait avec Armidir, qui se tenait toujours la main, et était à l’intérieur de la maison, s’empressa de traverser la porte et traina Armidir avec elle. Puis une seconde après, ils virent des ombres s’approcher de la maison et se glisser à l’intérieur. Par après, on entendit les cris d’horreurs de la mère de Kara s’élever de la forêt, puis s’éteindre dans un souffle.

La jeune Kara de 115ans, pris ses jambes à son cou et couru en a perdre haleine. Peu après, sans savoir pourquoi elle revint vers sa maison, car elle avait sentit que le danger était passé. Elle y entra.
-MAMAN!
Kara se laissa tomber sur ses genoux et pleura à chaude larmes sur le cadavre de sa mère. Entre ses sanglots, pu articuler une seule chose :
-Tu seras…venger…je…t’en…fais…la…promesse.
Kara mis le feu à leur maison par la suite et s’enfuit dans la forêt.
Pendant plusieurs années, Kara pourchassa les vampires qui avaient assassinés sa mère. Suivant les pistes de leurs passages. Mais, 5ans plus tard, à l’âge de 120 ans, il se produisit quelque chose. La pleine lune se leva au loin, et Kara se transforma en loup-garou devant les yeux ébahit de son fantôme du futur.
Ce qui était le plus étrange, c’était qu’on aurait dit que le Kara du futur ressentait les mêmes choses que du Kara passé. Kara revivait chaque évènement de sa vie.
Finalement, elle arriva enfin à ses fins 2ans plus tard, lorsqu’elle fut habituée assez à son nouveau corps et réussit à tuer tous les vampires qui avaient participé à la mort de sa mère. Mais lorsqu’elle vue le massacre le lendemain, la scène à laquelle elle se trouva l'horrifia à telle point qu'elle se mit à redouter son côté bestiale. Ne sachant que faire de sa vie, Kara décida de voyager. Puis plus les années passèrent, plus Kara devenait sombre. À chaque fois, qu’elle arrivait dans un nouveau village, on l’a pourchassait et la traitait de monstre. Kara vécu reclus du monde des hommes, vivant dans les forêts, là où elle se sentait réellement à sa place, pillant et volant ce qui lui plaisait, sans tuer personne et allant dans les bars sombres où les gens comme elle, exclus de la société, se réfugiait.
À l’âge de 150 ans, Kara fit une mystérieuse rencontre. Connaissant les forêts par cœur, Kara s’était préparé un piège pour piéger le prochain passant qui allait passée par-là. Un chariot apparut à la lisière de la forêt, transportant avec lui de l’or et des vivres. Lorsqu’elle l’attrapa enfin, elle fit peur à l’homme qui le dirigeait et vola tout les vivres qu’elle put trouver et pris 5 pièces d’ors, laissant les autres pour les villageois qui allaient passés par-là. Lorsqu’elle repartit vers sa cachette, elle arriva nez à nez avec un autre homme. Il était grand et mince, et dépassait largement Kara. Ses yeux étaient d’un brun sombre qu’on aurait presque crue qu’ils étaient noirs. Il avait les cheveux longs noirs jusqu'aux épaules. L'habit de l’homme ressemblait a celle (d'Aragorn dans le seigneur des anneaux 1) excepter qu'il avait dans le dos un gros sac de cuir noir ou dépassait un arc et des flèches et il portait a la ceinture une épée et une petite pochette de feutre.

Il regarda Kara d’un drôle d’air, puis lui dit :
-Eh bien, eh bien! Qu’avons-nous là? Une espionne? Une cinglée? Une voleuse?
Tout en parlant, l’homme tourna en rond autour de Kara et la contemplait avec un sourire enjôleur, mais Kara ne se laissa pas faire et resta de marbre. Elle voulu continuer sa marche, mais le garçon lui empoigna le bras pour la retenir, mais Kara, plus rapide, empoigna son poignet, tourna son bras de son dos et colla son nez à terre, laissant sa marchandise caché dans son sac pendre dans son dos.

-Mais t’es folle où quoi? Je veux juste te parler. Lâche-moi tu veux?
-Je n’ais pas de temps à perdre avec les hommes comme toi.

Kara le relâcha, puis il se remit debout et regarda Kara en lui montrant sa main.

-Désolé, je n’ais pas fait les présentations. Je me nomme Rihak. Et vous?

Kara regarda la main de Rihak avec suspicion, ne sachant pas quoi en faire et inclina plus tôt la tête vers l’avant avec respect.

-Mon nom est Kara. Que fais-vous ici?
-Oh, moi! Je ne fais que mon travail. Piller, saccager, détourner et souiller. Que voulez-vous de plus. En passant, vous êtes sur mon territoire.
-Vous avez du culot de me dire ça. Cela fait plus longtemps que vous que je suis ici.
Tout en regardant ses ongles d’un regard satisfait, Rihak s’approcha de Kara de plus en plus jusqu’à ce qu’il arrive nez à nez avec elle.
-Vous croyez?
-oh que…
Avant qu’elle n’eu le temps de finir sa phrase, Rihak lui vola un baiser, s’attendant à recevoir une claque sur la joue comme les filles le faisaient à l’habitude lorsqu’il donnait des baisers. Mais il ne savait pas à qui il avait affaire. Donc lorsqu’il eut lâché les lèvres de Kara, elle lui asséna un coup de poing sur le nez.
Rihak tomba par terre inconscient et Kara le transporta jusqu’à son campement. À son réveil, Rihak était étourdis. Kara le repoussa sur sa couchette lorqu’il voulu se relever.

-J’ai peut-être frappé un peu fort. Je ne contrôler pas ma force. Surtout lorsqu’on ose me toucher aussi familièrement.
Rihak eut un sourire en coin, mais le regretta par la suite, car Kara lui mit une serviette d’eau glacé sur le nez et pressa dessus.
-AILLE!, s’écria-t-il!
-Navré, dit-elle sans conviction.
-C’est moi qui suis désolé. Je n’aurais pas du vous sautez dessus comme je l’ais fait.
-Mais vous…
Rihak se mit à rire et Kara fit de même. Elle ne savait pas pourquoi elle riait, mais une chose était sûr, cela faisait bien longtemps qu’elle ne l’avait pas fait. La nuit passa et Kara et Rihak se lièrent d’amitié. Ils passèrent plusieurs semaines ensemble, volant, s’amusant dans les bars le soir. Pour ne pas gâcher ses moments de bonheur avec Rihak, lors de la nuit de pleine lune, Kara bu une potion qui l’empêcherait de se changer en loup, qu’une vieille sorcière lui avait vendue des années plus tôt. Mais ce qu’elle ne savait pas, c’est que même si elle buvait la potion, peut-être ne se changeait-elle pas en loup, mais son autre côté prenait le dessus sur elle.
Le côté bestiale de Kara pris alors le dessus cette nuit là et elle fit quelque chose avec Rihak qu’elle regrettera le lendemain matin.
À son réveil, Kara s’attendit à retrouver Rihak, mais il n’était plus là. Kara, les pupilles rouges à cause de sa potion, se rhabilla et le chercha. Alors plusieurs mélanges de sentiments se firent en elle. Mais à cause de sa potion, c’est la rage qui l’emporta sur elle, surtout lorsqu’elle remarqua que son or avait disparu. Furieuse, elle ramassa ses affaires, leva le camp et décida d’aller au bar. Oubliant qu’elle était entouré de bandit qui n’était que des hommes, Kara bu du rhum jusqu’à en devenir saoul, mais ça n’eut aucun effet sur elle. Lorsqu’elle vit Rihak entrer dans le bar, Kara perdit son sang froid et commença à tout démolir autour d’elle. Effrayé, les bandits s’enfuirent sans demander leur reste. Puis, deux secondes plus tard, un géant entra dans le bar.

-Mais qu’est-ce que…
Il n’eut pas le temps de finir sa phrase qu’il recevait déjà une chaise par-dessus la tête. Le géant, nommé Drok, ne remarqua pas que c’était Kara qui le lui avait lancé et s’attaqua plus tôt à Rihak dont il venait de croisé le regard. Folle de colère Kara protégea Rihak et s’attaqua a Drok, lui laissant une cicatrice au visage qui partait de son œil gauche et finissait à la base de son cou. Drok se prit la blessure à deux mains et jura, puis Kara lui assena un coup de pied au ventre et il vola à travers la fenêtre. Les gardes du corps de Drok partirent en courant. Puis Kara se tourna vers Rihak, furieuse, pendant que le bar commençait à brûler.

-Pourquoi m’as-tu fait ça? J’étais pourtant gentille avec toi.
Tout en lui parlant, Kara lui assenait des coups de poings au visage, qui devenait de plus en plus bleuté.
-Je ne voulais pas, réussit-il à dire au bout de quelque coup, agrippant les poignets de Kara pour l’empêcher de le frapper. C’est plus fort que moi. C’est dans ma nature. Et tu n’étais pas non plus toi-même.
Des larmes se mirent à couler sur le visage de Kara pendant qu’elle le frappait.
-Oh, désoler. C’est dans ma nature de frapper le monde au visage jusqu’à ce qu’il saigne à mort. C’est ca que tu veux dire?
Puis, Kara stoppa l’autre coup qu’elle comptait lui donner et à la place, elle le prit sur son épaule et sortit du bar avant que le toit ne s’effondre sur elle.
Kara déposa Rihak dans un coin reculé, puis repartit en courant vers la forêt et ne s’arrêta pas avant d’avoir atteint le plus loin qu’elle pouvait atteindre.

La Kara du futur suivait les scènes qui se déroulaient devant elle avec beaucoup d’attention. Mais elle ne savait toujours pas pourquoi elle pouvait ressentir ce que l’autre Kara ressentait. Sa poitrine lui brûlait tellement que la douleur lui en était insupportable. Mais elle essayait malgré tout de ne pas le montrer à Armidir.

Les années s’écroulèrent encore, sans qu’il ne lui arrive quoi que ce soit. Kara s’était maintenant habitué à sa solitude, même si parfois elle l’a pesait.
Puis, lorsqu’elle eut 250ans, toujours jeune et en beauté, Kara arriva dans la forêt des lianes où ses aventures avec Armidir allaient commencer…

Kara du futur pris connaissance de tous ce qui se passa. Du début à la fin, elle s’imprégna des sentiments qu’elle avait ressentis et des moments difficiles ou heureux qu’elle avait vécu. Puis vint le moment où ils arrivèrent à se qui s’était passé avec les gobelins. Une chose s’y produisit. Lorsque la Kara du passé tomba par terre et tomba dans l’inconscience et que les gobelins avaient disparus dans l’ombre, une aura blanche s’éleva de Kara et se transforma en petite lumière qui s’approcha de la Kara fantôme. L’image qui se trouvait devant eux disparut et la petite lumière entra dans le corps de Kara. Prise par une force, le corps de Kara s’illumina de l’intérieur, tandis que celle-ci fermait les yeux et levait la tête vers le ciel pour se laisser imprégner de la douce lumière, tout en tenant la main d’Armidir. Puis la lumière s’éteint et Kara rouvrit les yeux. Perdue, elle regarda autour d’elle, jusqu’à ce qu’elle aperçoive la main d’Armidir dans la sienne. Puis elle leva le regard sur lui et lui dit avec un sourire en coin :

-Je me souviens à présent. La lumière que tu as vue sortir de la Kara du passé, c’était moi. Je ne sais pas comment te l’expliquer, mais c’est comme si la lumière venait compléter les informations que je viens de voir, car même si j’ai vue les images, je serais devenue une autre personne que la Kara que tu connais. Mais la Kara que tu connais est revenue et s’est remise en moi, ce qui fait que je suis redevenue moi-même. Ce n’est pas grave si tu ne comprends pas, l’important c’est que je sois redevenue moi! C’est comme si j’avais été plongé dans un sommeil et qu’une autre personne contrôlait mon corps à ma place sans que je ne puisse intervenir.
Puis, baissant la tête elle ajouta :
-J’espère que tu n’es pas trop déçu ou bouleversé par les images de mon passé?

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Les Fantômes d'Armidir et de Kara se retrouvèrent dans une forêt ou une petite cabane se camoufle dans son environnement. 2 personnes y vivent. un homme et une femme d'une beauté indescriptible. elle était visiblement enceinte. Quelques jours plus tard, elle accouche de Kara. Armidir regardait la scène comme on regarde un film au cinéma. Puis alors il vit le père de Kara partir sans rien dire. Sa première épreuve.

C'est ainsi que la mère de Kara éleva la jeune fille seule pendant plus de 115 ans. C'est à cet age que le moment probablement le plus éprouvant de sa vie arriva. Sa mère déboucha dans la salle et dit a Kara de fuir. Quand tout fut finit, Kara revint pour découvrir le cadavre de sa défunte mère. Elle se mit a genoux et se mit à pleurer.

-Tu seras…venger…je…t’en…fais…la…promesse.

Armidir eu un vent de pitié pour Kara. a un si jeune age ( en loup garou en tout cas), elle avait perdu ses deux parents. une partie de sa propre vie lui revint a l'esprit mais il la chassa de peur d déformer le sort. il se concentra plutôt sur la suite. En deux ans, Kara avait tué tout les assassins de sa mère. Sa fit partiellement rire Armidir. C'était bel et bien Kara. Même a cet age, elle était dangereuse. Elle fut ensuite rejetée de la société humaine à cause de sa nature. Une fois encore, Armidir passa près de perdre le contrôle sur le sort. Il se rappelait trop de son troublant passé.Il réussit malgré tout a garder sa concentration. Il vit la suite. Un visage apparut dans le décor. Ce visage, Armidir l'avait déja vu... Mais ou?

-Eh bien, eh bien! Qu’avons-nous là? Une espionne? Une cinglée? Une voleuse?

Cette voix... Il tenta d'empoigner Kara en vain.

-Mais t’es folle où quoi? Je veux juste te parler. Lâche-moi tu veux?
-Je n’ais pas de temps à perdre avec les hommes comme toi.
-Désolé, je n’ais pas fait les présentations. Je me nomme Rihak. Et vous?

Rihak!?!? l'homme de la taverne en feu? alors c'est la qu'elle l'a rencontré!

-Mon nom est Kara. Que fais-vous ici?
-Oh, moi! Je ne fais que mon travail. Piller, saccager, détourner et souiller. Que voulez-vous de plus. En passant, vous êtes sur mon territoire.
-Vous avez du culot de me dire ça. Cela fait plus longtemps que vous que je suis ici.
-Vous croyez?
-Oh que…

C'est alors qu'Armidir eut un envie de meurtre. Rihak lui donna un baiser sur la bouche. Pourquoi lui? Sans que Kara ne s'en rende compte, Le sort vacillait. Armidir usait de tout ce qui lui restait de concentration pour chasser ces émotions la mais le sort fonctionnait tout de même moins bien qu'avant Il voulut en avertir Kara mais vu qu'elle écoutait sa vie trop attentivement. De plus, cela le gênait de lui expliquer pourquoi. Il décida d'ignorer le danger.

Au bonheur d'Armidir, Kara assèna un puissant coup sur le nez de Rihak, le rendant inconscient automatiquement. Elle le traîna à son campement et attendit son réveil Quand il ouvrit les yeux, un horrible mal de tête semblait le faire souffrir. Sans étonnement. Elle frappait fort la louve Ils parlèrent un peu et se mirent a rire. Bizarrement, Ce rire ne dérangeait pas Armidir du tout. Probablement parce que sa semblait faire beaucoup de bien a Kara.

Mais le lendemain, Quand Kara avait prit sa potion et que Rihak était partis avec son Or, Armidir eut peur pour la vie de Rihak, Même si il savait qu'il ne pouvait mourir puisqu'ils lavaient revus plus tard. Kara alla se saouler quand elle vit Rihak entrer. Elle se battit violemment avec lui et avec un autre géant. Le géant aussi, il le connaissait. Probablement l'auberge aussi mais... un géant ... serai-ce... DROK?!!?! Armidir revit a nouveau la bataille ou Kara et Armidir Faillirent perdre la vie. un autre coup de rage. Le sort, plus instable que jamais, menaçait de lâcher. Mais qu'arriverait-il si le sort lâchait?? Il se reprit au dernier instant. Mais la prochaine fois, ce serait la dernière.

Il vit alors ses aventures avec Kara dans la jungle, le désert, puis, finalement, Ce qui était arrivé a Kara. Sa ne l'ébranla pas. Mais quand la lumière sortit du corps de Kara et entra dans son âme du présent, Armidir eut un dernier flash-back. Le sort craqua juste quand Kara finit sa phrase.

-J’espère que tu n’es pas trop déçu ou bouleversé par les images de mon passé?

En un instant, on aurait dit que le monde autour d'eux venait de se fracturer comme de la vitre cassée. Armidir lâcha sans le vouloir la main de Kara et prit sa tête dans ses mains. Une horrible migraine l'harcelait.

-Kara! fait attention! Ce monde est instable. Surtout reste près de ----

Armidir disparut, laissant Kara seule dans une forêt qui venait de se former autour d'elle. Un étrange sentiment s'empara d'elle quand le lien entre le mage et la passagère fut rompu.

Armidir ouvrit le yeux en criant. Étai-ce un cauchemar? Il tenta de réveiller Kara mais impossible. C'est alors qu'il comprit. Le sort, par mesure de sécurité, l'avait renvoyé dans le monde présent, mais puisque Kara ne le touchait plus, elle resta la bas. Le lien fut sectionné et elle allait être prit dans l'autre monde. Armidir se précipita sur son livre de sort et regarda le sort de voyage dans le temps. Un seul moyen de faire revenir une personne prit dans l'autre monde. Il faut que le mage lui communique et - Horreur - Elle devait voir de la ou elle était jusqu'au présent la vie du mage pour qu'il puisse la réintégrer a son corps quand elle passerait près de lui au présent. C'étais une opération risquée mais c'était le seule solution. Il entreprit alors de lui communiquer. Il fit un cercle dans lequel il mit une petite pilée de cheveux qu'il avait du lui couper ( rien d'apparent sur sa chevelure) et le mit à côté de chandelles noires allumées. Il Amena le corps matériel de Kara dans le cercle et il s'accroupit a côté.
Il prononça une incantation et Kara reçut un message mental.

-Kara! je ne sais pas pourquoi mais le sort a rompu et tu est prise dans le passé, sauf a une condition. Tu devrais te trouver pas loin de l'endroit ou je me trouve au passé. Trouve moi et.... regarde ma viens a partir du point ou tu est jusqu’à aujourd'hui. Quand tu sera rendu au moment ou je fait le sort de retour dans le temps, avertis moi mentalement et je vais te faire réintégrer ton corps. Est-ce clair?


La forêt qui entourait Kara était différente de celles de d'habitude. elle n'étais pas dense et le sol semblait être sablonneux. C'étais les terres arides, il y a bien longtemps. Car comme tout les déserts, elle se promenait. Kara put voir au loin des gens rassemblés. Ils semblaient faire un rituel. un homme était étendu sur le dos sur une table au centre des humains. l'homme avait une plaie au ventre et un liquide verdâtre semblait pénétrer dans la plaie. L'homme criait tellement la souffrance était horrible. Un homme s'approcha avec un torche et mit le feu au pauvre bougre, qui s'enflamma aussitôt. C'est alors qu'une meute de tigres apparurent dans la forêt. Les hommes prirent peur et fuyèrent dans la forêt. L'homme eut un instant de lucidité et se mit a rouler sur lui même dans l'espoir de s'éteindre. Les flammes lâchèrent prise, laissant l'homme a moitié carbonisé par terre. Au bout de quelques heures, l'homme parvint a se réveiller. Il était nu mais rien n'était très visible à cause des cendres. Il fut retrouvé par un bon samaritain qui lui offra une longue cape noire pour cacher ses brûlures.

Les semaines passèrent et l'homme se sentait de plus en plus mal. Sa plaie au ventre semblait s'être infectée et il commençait a subir des mutations étranges. Déjà, il avait remarqué que ses ongles poussait excessivement plus vite. Il décida d'écrire une note et de partir en forêt. Après tout ce temps, cela ne semblait pas être Armidir du tout. L'homme mystérieux alla se faire une cabane dans la forêt la plus proche et vit en exil. Au cours des mois et des semaines, il changeait. Sa peau était maintenant verte et écailleuse et ses ongles ressemblaient définitivement plus a des griffes. Ses yeux étaient jaunes en permanence et sa pupille avait la forme de celle d'un chat. pour finir, deux longues cornes avaient poussés sur sa tête. Il était un demi dragon. la cérémonie avait bel et bien marché sauf pour 2 détails. C'était plus long et ils n'avaient pas le contrôle sur lui. L'homme dut se reproduire avec une femme aveugle qui avait perdu le sens du toucher. Ainsi la race des Demi-Dragons étaient nés.

Pendant des siècles, les demi dragon naissaient avec de moins en moi de traits draconiens. La race allait bientôt pouvoir se fondre parmi les humains. C'est alors que dans la cabane éternelle (la cabane su premier draconien), des siècles plus tard, naquit Armidir. Les enfants de son age ne contrôlaient plus le feu et avaient très peu de traits de leur ancêtre, mais lui était beaucoup plus semblable a son ancêtre. Il avait les yeux qui viraient comme ceux de son ancêtre quand il se frustrait et il avait les griffes. Aussi, il maîtrisait parfaitement le feu et avait les épaules écailleuses. Les hommes adultes contrôlaient très mal le feu sauf un, le père d'Armidir. Ils ne le bannissaient pas à cause de sa sagesse et a cause de sa femme et ses enfants. Car oui, Armidir avait un frère. À cause de sa différence, Armidir était rejeté de tout les enfants, les adultes et même de son propre frère. Son père était trop occupé pour prendre soin de lui. Sa mère était donc la seule a le comprendre.

À l'age de 7 ans, un évènement tragique eut lieux. Armidir se faisait encore et toujours narguer par ses confrères et par son frère semblait être absent cette journée la. Un des malfrats se mit a bousculer Armidir et les autres le suivirent. Hideux,Monstre, Idiot, Malédiction. Ils le traitaient de tout les noms. Armidir, cette journée la, en eut assé. Il pointa sa main vers un de ses camarades et le mit en feu. Les autres se mirent alors a crier. Certains allaient aider la torche vivante alors que d'autres, pris de panique, se mirent à frapper Armidir. Le frère d'Armidir, Faridir, avait 4 ans de plus que lui et il avait arrêté de le narguer mais gardait en lui une répugnance envers son frère. Il se précipita sur son frère et le retint pour ne pas qu'il tue quiconque d'autre. Armidir, fou de rage, se défit de sa poigne et lui donne un coup de griffe dans le visage, ce qui fit Faridir s'écrouler sur le sol. Armidir se laissa tomber sur lui et se mit à le frapper à la tête. Un adulte intervint et repoussa le jeune homme de sur son frère. À ce moment, il était déjà par terre inconscient. Armidir fut enfermé dans le sous sol pendant 2 semaines et les deux pauvres victimes furent amenés dans la salle qui leur servait d’hôpital. Le jeune malfrat s'en sortit avec quelques cicatrices mais son frère, lui, sombrait dans un profond coma.

Quand Armidir sortit de sa prison, il alla tout de suite voir son frère a l’hôpital. Il avait compris, durant ses deux semaines de réclusion, que son frère avait voulu le protéger et s'est en larmes qu'il appris qu'il l'avait peut-être tué. En arrivant, on lui refusa l’accès mais il insista tellement qu'ils le laissèrent entrer avec de la surveillance. Il alla ainsi voir son frères tout les jours jusqu'à son anniversaire de 10 ans. depuis l’évènement, les adultes avaient des conseils pour décider si ils devaient bannir Armidir. C'est le jour de ses 10 ans que la police débarqua dans leur chambre pour bannir Armidir. La mère du jeune homme se mit à pleurer et se précipita sur les gardes. Ils la repoussèrent violemment sur son lit et amenèrent Armidir dans la grande salle. La, il fut annoncé devant tout les autres draconiens qu'il allait être bannis. La plupart crièrent de joie sauf un. Son père. Lui, il le regarda à la sortie d'un regard cruel et sans pitié. il ne l'aimait pas plus que les autres, seulement il n'osait pas manifester sa joie.

Armidir fut ainsi banni se sa maison dans la vallée des esprits a tout jamais, avec comme seul réconfort sa peluche, un petit journal muni d'une plus et d'un pot d'encre et une grande couverture. Il arpenta la forêt jusqu’à l'age de 18 ans ou, muni de vêtements qu'il a trouvé durant ses 8 ans de réclusions, il partit vers la ville humaine pour s'y cacher. Il vécut dans les sombres ruelles et les sombres tavernes jusqu’à l'âge de 30 ans. À cette âge, il en eut asser de sa vie d'exclus vagabond et décida de se joindre à la vraie société. Il alla se récupérer une grande robe rouge munie d'un capuchon, semblable a celle que son ancêtre avait jadis utilisé pour cacher ses blessures, et chercha un travail dans la ville. Il en trouva une et réussit a vivre pendant 20 ans comme une homme normal parmi tout les autres. C'est quand il eut atteint 50 ans qu'il prit sa retraite, pensant que si tout les hommes prenaient leur retraite a cet age, c'est qu'ils devenaient trop vieux. Ce qu'il ignorait, c'est que les dragons sont casi-Immortels et vivent jusqu’à près de 1000 ans.

A 50 ans, Armidir avait atteint a peu près le 10em de sa vie. Durant la fête qui était organisé pour son départ, un de ses amis, saoul, tomba sur lui et arracha sa robe, montrant a tous la vraie apparence d'Armidir. Les gens de la ville chassèrent Armidir et il se retrouva de nouveau à errer dans la forêt. Seulement cette fois, il avait un but. En se promenant, il avait trouvé une grotte dans laquelle se trouvait un plan pour trouver un bâton magique qui amplifierait son emprise sur le feu. Puisqu'il n'avait pas mieux a faire et que sa pourrait l'aider a se se sortir de situation désastreuses, il partit a sa recherche. Quand il trouva la grotte dans laquelle le bâton résidait, deux ans plus tard, il découvrit aussi un crocodile géant qui semblait garder précieusement le trésor. A vue, le reptile se lança sur Armidir et lui mordit la jambe. Armidir réussit a lui lancer une boule de feu dans la gueule, l'incinérant de l’intérieur. Quand le crocodile tomba inerte, Armidir libéra sa jambe. Elle était dans un piteux état. Il rampa jusqu'au bâton et le prit. Il s'appuya dessus et se remit a boiter vers la forêt, sans but. Il se fit une petite caban ou il vit deux ans de sa vie a chasser les petits animaux et a prendre soin de sa jambe. Un jour, la petite cabane prit feu a cause d'un petit accident durant la cuisson d'un repas, La maison prit feu et Armidir dut s'en remettre a son mode de vie nomade.

Quelques année plus tard vers ses 57 ans, il prit une décision qui aura un impact asser élevé sur sa vie. Il décida de retourner voir sa famille pour voir si ils avaient réussis à se remettre. Il voulait surtout revoir sa mère et son frère. Malheureusement pour lui, quand il trouva la maison, elle était vide et a moitié carbonisée. Inquiet, il entra et découvrit un petit message. Il disait:
«Cher Armidir.
Si tu lis ceci, c'est que nous avons déserté. Les humains a trouvé la maison et l'ont attaqué. Nous avons combattus, mais en vain. Nous avons du partir vers un autre refuge. Ce taudis, nous ne savons même pas ou nous le ferons. nous sommes bien les seuls moi et maman à encore t'aimer. Les autres t'ont ou oubliés, ou détesté. Le reste ne connaissent même pas ton existence. Prend cette petite somme d'argent et ne nous cherche pas. C'est pour ton bien.
S'il te plait, survit.
Ton grand frère qui s'est très bien rétabli.»

Armidir se mit a pleurer. Au moins, il s'était rétabli. Il vint pour prendre la bourse d'argent mais ne la trouva pas. Des gens avait dû la trouver avant lui. Il s'endormit sur une chaise en avant de cher lui et fut réveillé par un cri strident. Une jeune fille qui criait comme si on voulait l'égorger. Armidir se leva et alla voir. Il trouva une jeune femme plutôt belle Elle avait les cheveux blancs et des oreilles pointus. Elle était attaquée par des voleurs sans scrupules. Elle était nue, attachée a un arbre. Armidir se cacha derrière un arbre et invoqua une colonne de feu qui en brûla une partie et fit repartir les autres. Il se cacha les yeux et les mains et alla défaire ses liens. Ils se cacha, attendant qu'elle parte mais elle n'en avait pas l'intention.

-… Merci Ô grand et fort sauveur… me permettez vous de voir le visage de mon sauveur afin que jamais je ne vous oublie ?

Il tenta de l'ignorer. Il ne voulait pas qu'elle voit sa figure et qu'elle le rejette. soudain, elle se remit a pleurer

- … Hooo non !! Ces vandales ont tous manger mes provisions !!…. snif snif Qu’est-ce que je vais faire maintenant ? Snif !!

Elle finit de ramasser ses effets et prit un pendentif en or. Elle s'approcha d'Armidir et lui tendit.

- Merci à vous, ceci est pour vous récompenser de votre générosité…

Armidir fut choqué par cette marque d'affection. Il avait bel et bien sauvé sa vie mais il ne se sentait pas asser bien pour l'accepter. Le pendentif semblait important pour elle. Aussi, sa figure... ses larmes... tout lui rapellait sa petite cousine.

-Garde le... cet objet est précieux et vaut probablement beaucoup d'argent. Si tu me la donne c'est qu'elle ne représente rien pour toi et donc tu devrais aller la vendre. En échange de t'avoir sauvé, je n'ai qu'une demande. Laisse moi t'accompagner dans ton voyage. Si tu veut, je te montrerai mon visage. Mais tu ne devra en aucun cas dire a un humain ma vraie identité. Marché conclus?

La jeune femme acquiesça. Il se leva et enleva son capuchon. La femme ne semblait pourtant pas très effrayée par sa figure. Il fallait observer vraiment attentivement pour discerner que ce n'était pas celle d'un humain. La jeune femme reprit son pendentif et ils partirent tout les deux. Un jour, Armidir se réveilla et la jeune femme nommée Elrëlia Legòwen n'était plus là seul une petite note gisait la, disant qu'elle devait se rendre dans son village natal car elle avait peur qu'ils se soient tous fait décimer. Armidir reprit, nostalgique, son voyage.

Quelques années plus tard, il entre dans une forêt qui ressemblait à une forêt comme les autres, mais que quand on approchait, on pouvait remarquer que de nombreuses lianes étaient accrochés sur plusiqurs branches des arbres et qu'il y avait des palmiers. Ainsi commença ses aventures avec Kara. L'esprit de la lycanthrope revit pour la 3eme fois ses aventures avec Armidir jusqu'au moment ou Armidir sortait de la tente. Elle envoya un message mental a Armidir par la liaison mentale et celui si se prépara. A l'instant précis ou l'esprit de Kara semblait sortir de son corps, elle avertis Armidir et celui si prit son Esprit du mollet et le traîna dans son corps. Elle ouvrit les yeux, ses vrais yeux. Elle était de retour parmi les vivants.

-Rebienvenu au présent ma chère! dit Armidir avec un sourire, le front plein de sueur.

Petite note Hors RP

HOLY **** 3 307 mots, 9 pages word pour UN SEUL POST!! record

Tout à coup, Kara sentit qu’Armidir lâchait sa main. Elle se retourna pour voir ce qui lui prenait et vit qu’il tomba sur ses genoux, se tenant la tête entre ses mains. Elle voulu faire quelque chose, mais quelque chose d’étrange se passa et Armidir disparu.

Seul dans une étrange forêt, Kara ne comprenait pas. Que venait-il de se passer? Le sort avait-il arrêté de faire effets et s’était-elle retrouver coincé dans le temps? Paniqué Kara regarda dans tous les sens et cria :

-ARMIDIR!
Au bout de quelque cris, elle tomba à terre, découragé. Mais, elle entendit une voie dans sa tête :

-Kara! Je ne sais pas pourquoi mais le sort a rompu et tu es prise dans le passé, sauf a une condition. Tu devrais te trouver pas loin de l'endroit ou je me trouve au passé. Trouve moi et.... regarde ma viens a partir du point ou tu es jusqu’à aujourd'hui. Quand tu seras rendu au moment ou je fais le sort de retour dans le temps, avertis moi mentalement et je vais te faire réintégrer ton corps. Est-ce clair?

Kara répondit mentalement que oui, ne sachant pas s’il l’avait entendu, puis, se reprenant, elle suivit les scènes qui se passaient devant elle. Tout en regardant, Kara ressentit toute sorte de choses, d’abord la colère devant l’injustice de ce monde, la frustration de ne pouvoir rien faire. Elle se rendait enfin compte qu’Armidir avait souffert autant qu’elle avait souffert dans sa misérable vie, car jamais Armidir n’avait évoqué les souvenirs de son passé, donc elle ne pouvait pas savoir. Ses yeux devinrent rouges à force de voir les scènes qui passaient devant elle. Comment les gens pouvaient-ils être aussi cruels?
Oui, elle avait vécu plus longtemps qu’Armidir, mais rien en se qu’elle voyait le montrait se qu’elle pensait réellement du monde qui l’entourait. Au bout de quelque heure, elle revue ses aventures vécue avec Armidir, mais comme il le voyait. À revoir sans cesse les mêmes images défilés, Kara s’aperçut de quelque chose. Quelque chose clochait avec Armidir…Mais pas juste avec lui. Avec tous les évènements qui s’était produit. La disparition de son père, l’attaque de vampires, sa perte de mémoire, la rencontre avec Armidir. On aurait dit que tous ses évènements étaient liés. Pourtant, Armidir n’était pas encore né lorsque Kara vivait.
Elle n’eut cependant pas le temps de réfléchir encore plus en détails, car le moment où Armdir et Kara allaient retourner dans le passé arriva et Kara avertis Armidir mentalement et il l’a ramena parmi le présent avant que celle-ci ne se retrouve coincé dans le futur.
Kara sentit son âme réaspiré dans sa forme originelle et lorsqu’elle ouvrit les yeux, redevenue normal, elle croisa le regard et le sourire d’Armidir.

-Rebienvenue au présent ma chère! Dit-il avec un sourire, le front plein de sueur.

Kara prit le temps de se rabituer à son corps, puis elle s’accouda sur ses coudes, tandis qu’Armidir, assit en indien, reprenait son souffle et que Kara dit dans un souffle :

-wow!

S’était étrange de retourner de l’état immatériel à matériel. La sensation de ne plus pouvoir voler ou traverser les objets comme bon leur semblait avait de la difficulté à sortir de Kara. Mais elle se ressaisit vite pour faire part de sa découverte à Armidir. Ne pouvant se contenir, elle se leva, mais retomba tout de suite sur le derrière, prise de vertige. Aider d’Armidir, elle s’accota le dos sur une roche, tandis que celui-ci prenait place en face d’elle, aussi épuisé qu’elle et elle lui dit :

-Tout se qui s’est passé. Tous ses évènements sont liés avec le mage. La disparition étrange de mon père, l’assassina de ma mère, ma perte de mémoire. Je crois que depuis le début, le mage se joue de nous et…et…

Épuisé comme si toute sa force et son énergie était tombé d’un seul coup, Kara ne put aller jusqu’au bout de sa pensée et elle perdit conscience. Une seconde avant, cependant, elle s’agrippa au bras d’Armidir, remarqua que lui aussi n’avait pas l’air dans son assiette et lui dit :

-Je vais reprendre l’énergie que j’ai perdue et chercher des réponses grâce…à..la..pierre.

Puis, sans crier gare, la tête de Kara s’affaissa sur l’épaule d’Armidir, tandis que ses bras pendirent sur le côté de son corps.

Durant son sommeil, Kara n’eut aucune conscience. Au bout de quelque essaie, elle réussit à s’ouvrir enfin les yeux, mais remarqua qu’elle était encore dans un songe. Elle essaya de contrôler sa vision et elle se rendit jusqu’au château de glace où l’attendait le mage, les bras croisés derrière le dos, et seul…

Suite au prochain poste après ton tour Armidir!!!!

Note hors RP:

Je suis fatiguer alors, tu peux écrire ton post, puis j'écrirais la suite du miens demain!!!!

Sur ce, bonne nuit

Mini-Post!!

Armidir,assis en indien, regarda Kara reprendre le contrôle de son corps. Elle semblait exténuée et lui aussi. Elle tenta de se lever mais, comme Armidir s'en attendait, elle retomba. L'homme Dragon l'aida à se relever puis alla s'appuyer le dos sur une roche en avant de celle de Kara.

-Tout se qui s’est passé. Tous ses évènements sont liés avec le mage. La disparition étrange de mon père, l’assassina de ma mère, ma perte de mémoire. Je crois que depuis le début, le mage se joue de nous et…et…

Armidir vit Kara tomber soudainement, surement a cause de l'épuisement dû a la réintégration de son corps. Elle s'accrocha sur son bras, ce qui passa près de le faire tomber a son tours, et dit:

-Je vais reprendre l’énergie que j’ai perdue et chercher des réponses grâce…à..la..pierre.

Ces mots frappèrent Armidir aussi fort que le coup qu'elle lui donna en tombant sur lui. Utiliser la pierre... Il ne savait toujours pas si s'était dangereux, mais sa semblait innofensif puisqu'elle ne semblait pas avoir tant de misère avec. Il alla la déposer dans sa tente et sortit dehors. Il comptait garder le camp durant la nuit mais tomba rapidement endormis.

Durant son sommeil, Kara n’eut aucune conscience. Au bout de quelque essaie, elle réussit à s’ouvrir enfin les yeux, mais remarqua qu’elle était encore dans un songe. Elle essaya de contrôler sa vision et elle se rendit jusqu’au château de glace où l’attendait le mage, les bras croisés derrière le dos, et seul…

Maintenant que Kara avait atteint son but, debout devant le mage, le visage contrarié, elle ne savait pas quoi faire. Mais, tout à coup, le mage se mit à tapé dans les mains et lui dit d’une voie assuré et amusé.

-Félicitation Kara! Tu passes à un autre niveau. Jamais personne n’avait réussit cette exploit avant toi. Tous on tomber dans mon piège la tête baisser. Mais je me demande, comment as-tu fait?, tout en parlant le mage tourna le dos à Kara et alla s’asseoir sur son trône de glace.

Ignorant sa question, Kara lui répondit par une autre:

-C’est vous qui avez fait fuir mon père?

-C’est exact! Rien de plus facile que d’attirer un loup-garou affamé dans un piège.
-Vous avez envoyé les vampires tués ma mère, car elle venait de découvrir la vérité et vous ne vouliez pas qu’elle me le dise lorsque je serai adulte. La vérité c’est qu’il est encore bel et bien en vie.
-Encore exact!
-La femme qu’Armidir à sauver!
-Oui, mais elle a échoué, à mon grand désarois. Le pendentif en or aurait du lui revenir…

Kara ne le laissa pas terminer…

-L’attaque des gobelins, qui à causé ma perte de mémoire. Normalement je n’aurais pas du la perdre aussi facilement, même avec les coups que je me suis prise. Et la rencontre avec le mage, la pierre…
-Le vieux magicien à bien jouer son rôle à se que je voie!

Les yeux de Kara s’agrandirent par l’étonnement. Comment avait-il pu leurs mentir. Puis, caché dans un coin reculé de la pièce, elle vit le petit lutin, Larf. La colère s’empara d’elle, mais elle se retint, car le mage continuait à parler et tous informations lui seraient utiles.

-Et oui! Si Armidir avait eu son médaillon dès le début, nous n’en saurions pas là aujourd’hui. J’aurais pu le manipuler comme une vulgaire marionnette, mais une deuxième chance s’est présentée à moi. Pendant mon combat contre le magicien, il a perdu et j’ai pu l’envouter afin de prendre possession de son corps. Alors j’ai pu te donner facilement la pierre, que tu as prise si facilement.

Le mage se releva et s’approcha de Kara petit à petit, mais celle-ci recula. Quand elle atteignit le mur, le mage s’arrêta à deux pas d’elle et d’un doigt, fit le tour de son visage.

-Une si belle jeune femme.
-Vous avez de la chance que je ne puisse pas vous toucher.
-Tu trouves. Moi j’adorais voir ça.

Kara distingua sans peine enfin son visage. Le mage avait les cheveux courts et noirs, son visage paraissait jeune, mais on pouvait distinguer une certaine vieillesse dans son regard, qui vous hypnotisait rien qu’à les regarder. Kara essaya de donner un coup au menton du mage, mais celui-ci passa à travers lui.

-Grâce à la pierre, je te fais voir tous ce que je désire, et quand je veux et je pourrais même te contrôler si je le désirais. C’est la pierre qui t’a fait perdre la mémoire, donc moi, dit-il, un grand sourire aux lèvres.

Désarçonnée, Kara se laissait glisser le long du mur jusqu’à ce qu’elle soit assise par terre. Pendant tous ce temps, tout ses actions, tous ce qu’elle pensait. Tous avaient été contrôlés. La mort de sa mère innocente, la vie qu’elle et Armidir avaient vécus, reclus et bannis. Voyant son désarroi, le maga s’accroupi et regarda Kara en riant.

-À quoi t’attendais-tu? À ce que réellement quelqu’un puisse vouloir être avec toi, partager ta vie ou même t’aimer!

C’est alors que la projection astrale d’Armidir apparut derrière le mage. Kara, les larmes aux yeux, cacha son visage dans ses mains. Mais elle s’y refusa.
‘’Sans est assez. Il est temps de jouer à un autre jeu. Finit les pleurnicheries d’enfants.’’Elle se releva, les yeux rouges de colère, déterminé d’en finir avec le mage.

-Vous ne me contrôlez plus!

Mais, tout à coup, l’image d’Armidir se leva dans les airs et le mage l’étrangla par la pensée.
Le mage se glissa derrière Kara et lui chuchota à l’oreille.

-Oh que si. Tu m’appartiens que tu le veuille ou non. Et au moment venu, tu pourras enfin t’apercevoir de l’étendue de mon pouvoir et du mal qui s’enivrera en toi comme le sang coulant dans tes veines. Le jour où cela arrivera, tu remarqueras que tes yeux seront aussi blancs que les abysses et tu tueras ton ami de tes propres mains, ou devrais-je dire, de tes propres pattes…
Sur ces mots, Kara disparut de la vision, aussi vite qu’elle y était rentré et revint dans son corps qui se releva d’un coup. Elle ne pris pas le temps de remarquer où elle était, se releva, pris sa canne et marcha jusqu’à Armidir.
‘’Il est encore en vie!’’

Soulagé, elle se glissa or de sa tente et partit à l’extérieur commencer à partir un feu. Elle réfléchi au parole du mage. Comment pourrait-elle tuer Armidir un jour. Des larmes silencieuses coulèrent sur ses joues. Non des larmes de tristesse, mais plus tôt de colère. Envers elle, car si au départ elle n’avait pas prise la pierre, tout ne se serais passé, et envers la vie. La vie lui avait donné un ami, un être cher sur qui compter. Et elle comptait aussi enfin pour quelqu’un. Ses sentiments se mélangeaient tellement qu’elle n’en pouvait plus de les garder en elle. Enragé, elle donna des coups de canne dans le feu, démolis sa tente, puis lorsqu’elle échappa sa canne, dans un accès de colère, elle voulu prendre une bûche qui était en train de brûler dans le feu, mais se brûla la main. Elle jura entre ses dents, tomba à genoux et remarqua qu’elle ne s’était pas brûler la main, mais plus tôt la patte…

Regardant vite son reflet à travers un objet qu’elle trouva non loin d’elle, Kara remarqua qu’un de ses yeux étaient blancs comme la neige, tandis que l’autre était aussi rouge que le sang. En plus d’avoir déjà deux personnes en elle, il fallait qu’elle se fasse contrôler par une troisième personne.
En moins de deux, Kara acheva sa transformation et sans prévenir, elle fonça sur la tente d’Amidir, mais puisqu’une partie d’elle restait éveiller, ou plus tôt son côté bestiale puisque un de ses yeux était rouge, Kara hurla au loup avant de s'élancer dans l’espoir que cela réveille Armidir avant qu’elle ne le tue pendant son sommeil…

Armidir Entendit le cri d'un loup. A moitié éveillé, il fit mine de l'ignorer. Le cri semblait toutefois se rapprocher. Soudain, Armidir crut comprendre. Il se leva et se précipita a l’extérieur, juste à temps. Kara percuta la tente d'une force qui aurait bien pu le mettre en morceau. Sa première pensé fut qu'elle avait perdu le contrôle, mais quand il vit ses yeux, une question le percuta. Pourquoi étaient-ils différents. Il évita une charge d'un pas rapide sur le côté et tenta de fouiller dans sa tête pour une explication. Kara elle même ne pouvait pas vouloir le tuer. Ce n'était donc pas elle. C'était ou son côté bestial, ou quelqu’un d'autre. Il commença a éviter les coups en direction de la tente de Kara. Il voulait voir si 'était bel et bien elle qui s'était transformée. évidemment, quand il arriva, il eut un soupir de découragement. c'était bien elle.

C'est alors qu'il se rappela d'un détail grâce au flashback de l'histoire de Kara. Il évita une autre charge et se précipita dans la tente de Kara. Il prit son sac et sortit de la tente, juste à temps avant qu'elle ne tombe sous la force de la bête. Armidir ouvrit le sac de Kara et en sortit sa flûte. il dut lancer le sac pour éviter un autre assaut. il prit la flûte et fit la première berceuse qui lui vint a l'esprit...

https://www.youtube.com/watch?v=Jayd7eYYUoU

Kara, furieuse, essaya d’attraper Armidir, mais il n’arrêtait pas de bouger de tous côté et de réussir à filer avant que les griffes de Kara ne l’atteigne. Ce qui ne se voyait pas c’était que comme Armidir, Kara luttait contre elle-même et essayait tant bien que de mal de se défaire de l’emprise que l’on exerçait sur elle.
Puis, elle vit Armidir s’immobiliser avec un étrange objet dans les mains. C’était sa flûte.
Kara se rappela des souvenirs de son passé. Sa mère lui avait raconté que son père adorait jouer de cette instruments, même si pour certain il était rudimentaire, et il en jouait souvent le soir, avant de se transformer ou quand il était trop en colère pour contrôler ses pulsions. La mère de Kara le lui avait donné en lui disant qu’un jour, cette objet magique allait lui être d’un grand aide. Kara n’avait pas compris, puisque à cet âge, elle n’avait pas encore connaissance qu’elle allait devenir à son tour une louve-garou.

La flûte de Kara avait sa couleur originel, soit le bois où on l’avait construite, soit du pain. Son père l’avait construite lui-même et y avait ajouté sa touche personnel en y ajoutant des symboles sur le côté de la flûte et il avait inscrit son nom, Elrik et le nom de sa femme, Ambre, dessous la flûte. Selon la recherche que Kara avait entreprise, les symboles gravés sur l’instrument signifiaient, malgré les ténèbres qui m’obscurcissent, l’amour me libèrera de tous mes malheurs. Puis plus tard il y ajouta le nom de Kara. C’est pour cela que la flûte était si importante pour Kara et qu’elle avait apprise en a jouer. La flûte faisait non seulement partie d’elle-même, mais aussi, c’était la seule chose que son père avait laissé derrière lui en se sauvant, son seul bien qui était devenue le sien.

Avant que Kara ne puisse lancer sa seconde attaque, Armidir commença à jouer de l’instrument. Kara s’immobilisa. La louve se pris la tête entre ses mains. Agité, elle tomba sur ses genoux et trembla de tous son corps. Elle secoua frénétiquement sa tête de chaque côté. Kara combattait à l’intérieur d’elle. Essayant à tous pris de reprendre le contrôle sur son corps. Mais cette fois-ci, Kara ne combattait plus seul, même son côté bestiale l’aidait à se soulever contre l’envahisseur de son corps. Pendant cela, Armidir continua à jouer de la flûte sans s’arrêter, voyant sûrement que cela faisait effet.

Au bout d’un moment, le doux son que la flûte jouait finit par calmé Kara, qui réussit à reprendre le contrôle. Elle laissa échapper une longue plainte aigue d’animal qui se changea en cri d’humain. Les yeux de Kara redevinrent noirs comme la nuit, et à bout de souffle, elle s’effondra sur la terre humide, reprenant son souffle. Mais Kara sentit que ce n’était que le début et que qui que soit la seconde personne qui avait pris possession de son corps, elle n’était pas partis définitivement et allait revenir.

Calmé, Kara continua d’écouter le doux son de sa flûte qui l’apaise petit à petit, puis, restant couché sur le dos, les yeux fermés elle dit à Armidir d’un ton étonnamment calme :

-Si tu veux éviter que je me retransforme, agit avec calme du mieux que tu pourras.

Kara sembla en paix. Son corps, qui subissait de terrible tremblements finit par s’immobiliser et Kara pu enfin respirer tranquillement. Cela ne veut pas dire pour autant qu’il faut la secoué et l’énervé.

-Tu ne m’avais pas dit que tu savais jouer de la flûte.